Can. 2013. Drame de Mathieu Roy avec Émile Proulx-Cloutier, Roy Dupuis, Marcel Sabourin. Un apprenti pilote de brousse et son frère photographe de guerre se querellent au sujet de la marche à suivre pour prendre soin de leur père atteint de la maladie d'Alzheimer. Récit sincère mais manquant de crédibilité. Écriture laborieuse. Réalisation compétente. Composition sensible de M. Sabourin. (sortie en salle: 18 octobre 2013)
Général (déconseillé aux jeunes enfants) Can. 2013. Drame de Mathieu Roy avec Émile Proulx-Cloutier, Roy Dupuis, Marcel Sabourin.
Un apprenti pilote de brousse et son frère photographe de guerre se querellent au sujet de la marche à suivre pour prendre soin de leur père atteint de la maladie d'Alzheimer. Récit sincère mais manquant de crédibilité. Écriture laborieuse. Réalisation compétente. Composition sensible de M. Sabourin. (sortie en salle: 18 octobre 2013)
Véronique Harvey - 24 Heures
Abordant les thèmes de la vieillesse, de l'isolement et de l'Alzheimer, L'AUTRE MAISON réussit à toucher la corde sensible et suscite des questionnements quant aux aidants naturels. L'image est magnifique et léchée. Le jeu des trois acteurs principaux est juste et émouvant.
Luc Laporte-Rainville - Ciné-Bulles
(...) Roy surligne les enjeux narratifs à grand renfort de musique lyrique. Cette scorie est néanmoins mineure tant les qualités du film sont légion. (...) cette première incursion du côté de la fiction est servie par une puissante distribution composée de Marcel Sabourin, au sommet de son art, d’Émile Proulx-Cloutier, très juste, et [de] (...) Roy Dupuis.
Ronnie Scheib - Variety
Despite the obvious sincerity of tyro helmer Mathieu Roy's semi-autobiographical gloomfest, a standout performance from Marcel Sabourin, and a standing ovation before a sold-out Montreal festival crowd, this HOUSE will encounter problems leaving home after its October Canadian release.
Philippe Couture - Voir
Un très beau film (...), qui ne réinvente pas la roue, mais séduit par son approche sensible et imagée d’un sujet complexe et délicat. Et ce, malgré un certain manque de nuances dans les personnalités des deux frères, présentés de manière un peu monolithique.
André Lavoie - Le Devoir
L’AUTRE MAISON apparaît souvent comme l’archétype du premier film de fiction: à la fois plein de sincérité et de maladresses, cherchant à dire beaucoup mais de façon un peu désordonnée, trop collé à l’histoire personnelle de son auteur pour ne pas céder au jeu des comparaisons.
Marc-André Lussier - La Presse
(...) Roy s'attarde à composer de très beaux plans à travers lesquels s'exprime le monde intérieur - parfois très serein - dans lequel vit le patriarche. (...) l'émotion, (...) subtilement, s'installe au détour d'un geste, d'un regard, d'une interrogation silencieuse. Saluons à cet égard le jeu remarquable de Marcel Sabourin, toujours très sobre, très juste.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
