Pour se rapprocher de son père, ancien coureur de fond, un adolescent en chaise roulante le convainc de participer avec lui à un triathlon "Iron Man".
Arnaud Schwartz - La Croix
Les scènes sportives liées au déroulement de l’épreuve (...) prennent (...) une importance démesurée, qui oblige le cinéaste à adopter un rythme artificiel, à recourir à une dramaturgie peu convaincante. L’ennui s’installe et c’est dommage, car l’histoire est belle.
Rob Nelson - Variety
Amazingly, the result goes the distance, thanks in large part to believable performances by the leads and vivid footage of the big race, shrewdly shot by director Nils Tavernier (...) at last year’s Ironman France competition in Nice.
Cécile Mury - Télérama
Les innombrables scènes de course à pied, de vélo équipé ou de natation devraient (...) être décisives. Hélas, elles restent purement illustratives. Elles ne racontent rien du lien qui se crée, semblables, entre deux dialogues, à de simples interludes. Des pauses envahissantes, qui laissent le temps de s'ennuyer, puis de décrocher.
Sophie Grassin - Le Nouvel Observateur
Impossible de douter de la sincérité du projet de Nils Tavernier. Ni de l’implication des comédiens. Mais le film, qui prend forcément le spectateur en otage, semble couru d’avance. Et le réalisateur laisse le cinéma battre en retraite devant son sujet.
Pierre Vavasseur - Le Parisien
Sur un scénario très simple, (...) Nils Tavernier emporte l'adhésion. La différence, l'amour filial y sont ici traités avec une fougue revigorante. (...) ce film est un peu comme une chanson des Rolling Stones, une partition de Mozart, un tube inoxydable d'Hallyday. Il donne envie d'avoir envie. De se battre et d'aimer.