Face à la caméra, cinquante hommes et femmes se confient et abordent une multitude de sujets, certains légers, d'autres sérieux et très intimes. (sortie en salle: 14 mars 2014)
Nicolas Gendron - Ciné-Bulles
Il aurait aisément pu être surchargé si ce n’était d’un travail de montage colossal, tantôt regroupant les interventions par thème sans les nommer (...), tantôt les opposant dans leur tonalité. (...) C’est là l’une des grandes forces d’AUTOPORTRAIT SANS MOI.
Danic Champoux - Ciné-Bulles
"En montage, j’ai tout revécu. C’est là que le film s’est construit. (...) Ce film est le fruit du subconscient. Le monteur René Roberge et moi avons pris des décisions qui ne sont pas rationnelles. Sans sa sensibilité, je me serais certainement perdu."
Charles-Henri Ramond - Séquences
Filmées en plan américain sur un fond blanc parsemé ici et là de taches noires, ces confessions forment (...) une mosaïque des préoccupations québécoises actuelles que le réalisateur agence de manière à donner un portrait éclaté et parfois déroutant de notre société.
André Lavoie - Le Devoir
C’est d’abord la simplicité de la technique qui saute aux yeux. (...) Le parti pris de Danic Champoux affiche vite ses limites, mais le cinéaste cherche constamment à tirer le meilleur de cet exercice de style à caractère anthropologique.
André Duchesne - La Presse
Le sujet, l'audace du traitement, la sincérité, le coup de poing assumé méritent qu'on s'incline. Mais le résultat est tellement dur qu'on ne rangera pas notre copie dans la vidéothèque de la maison. Une écoute suffit.