Il faut se méfier des trop belles images. Celles (...) [d']AMAZONIA sont sublimes et alléchantes. On y découvre un fabuleux bestiaire multicolore qui (...) restitue l'extraordinaire richesse de la (...) forêt amazonienne (...) [mais] ne parvient jamais à susciter l'émotion du spectateur.

(...) l'animal croise au cours de son périple toutes les splendeurs et tous les dangers. (...) En dépit des beautés croisées en chemin, la naïveté le dispute quand même au grotesque (on recommande à cet égard le "bad trip" du singe qui a abusé de champignons hallucinogènes).

Drôle et touchant, ce récit d’initiation relate l’adaptation du capucin à la forêt et sa rencontre avec les siens, garantie de sa survie. (...) Ce documentaire muet mais accompagné de la musique de Bruno Coulais montre la beauté de la forêt vierge.

Ce héros, petite boule de poils attendrissante, devrait faire fondre les enfants. D’autant que la nature, filmée en 3D, est absolument somptueuse. En revanche, les plus grands risquent de ne pas trouver leur compte devant l’anthropomorphisme gentillet.

Avec son thriller vert éclatant, Thierry Ragobert prouve que l'on peut faire passer le message écologique sans voix off pontifiante ni anthropomorphisme: juste avec la force du plus beau décor du monde.

En plus d'un sujet riche, d'une image léchée (...) et d'un casting poilant, la musique du film, signée Bruno Coulais, fait beaucoup pour nous retenir dans cette balade en pleine jungle. Les amateurs de calme et de verdure apprécieront aussi l'absence de commentaires.