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Soleil noir (Iron Sky)

Fin. 2012. Science-fiction de Timo Vuorensola avec Julia Dietze, Götz Otto, Christopher Kirby. En 2018, les projets d'invasion de la Terre par des nazis installés sur la Lune depuis 1945 sont compromis par l'arrivée d'un astronaute américain de race noire. Intrigue farfelue et fantaisiste, s'essoufflant en fin de parcours. Éléments critiques manquant de mordant. Traitement visuel d'une qualité remarquable. Interprétation résolument caricaturale. (sortie en salle: 24 août 2012)

13 ans +
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Soleil noir (Iron Sky)

13 ans + 13 ans +

Fin. 2012. Science-fiction de Timo Vuorensola avec Julia Dietze, Götz Otto, Christopher Kirby.

En 2018, les projets d'invasion de la Terre par des nazis installés sur la Lune depuis 1945 sont compromis par l'arrivée d'un astronaute américain de race noire. Intrigue farfelue et fantaisiste, s'essoufflant en fin de parcours. Éléments critiques manquant de mordant. Traitement visuel d'une qualité remarquable. Interprétation résolument caricaturale. (sortie en salle: 24 août 2012)

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2018. Établis sur le côté obscur de la Lune depuis leur défaite aux mains des Alliés en 1945, des nazis s'apprêtent à envahir la Terre. Or, l'arrivée impromptue d'un astronaute américain de race noire, James Washington, compromet sérieusement leurs plans. Capturé puis soumis à un traitement spécial pour lui blanchir la peau, le cosmonaute est renvoyé sur Terre, escorté par l'ambitieux Klaus Adler, qui veut ainsi préparer l'invasion à l'insu de son chef. Mais les projets de l'officier sont contrecarrés par la belle et naïve Renata Richter, une chercheure qui, destinée à l'épouser selon les critères de sélection aryens, s'est plutôt éprise de James.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La mobilisation et le soutien financier de nombreux admirateurs internautes de sa parodie virtuelle de la série STAR TREK ont permis au cinéaste finlandais Timo Vuorensola de signer ce premier long métrage, une ambitieuse fantaisie spatiale, qui s'essouffle toutefois en fin de parcours. Ce croisement farfelu et burlesque entre la science-fiction et l'iconographie nazie fourmille de références historiques et culturelles, d'où quelques flèches décochées à l'Amérique impérialiste, qui manquent par contre de mordant et de fine causticité. La direction artistique et le traitement visuel exceptionnels compensent en partie ces lacunes. Les performances amusantes et pour la plupart proprement caricaturales des membres de la distribution font le reste.

Texte : André Lavoie

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