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Outpost: Black Sun

G.-B. 2012. Drame d'horreur de Steve Barker avec Catherine Steadman, Richard Coyle, Daniel Caltagirone. Des civils et des soldats de l'OTAN cherchent à neutraliser un scientifique qui transforme des soldats nazis décédés en zombies invincibles. Récit grotesque et confus. Manque de tension dramatique. Réalisation technique à peu près au point. Interprétation sans nuance.

13 ans + (violence, horreur)
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Outpost: Black Sun (Outpost: Black Sun)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

G.-B. 2012. Drame d'horreur de Steve Barker avec Catherine Steadman, Richard Coyle, Daniel Caltagirone.

Des civils et des soldats de l'OTAN cherchent à neutraliser un scientifique qui transforme des soldats nazis décédés en zombies invincibles. Récit grotesque et confus. Manque de tension dramatique. Réalisation technique à peu près au point. Interprétation sans nuance.

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À la poursuite du criminel de guerre nazi Klausener, Lena se rend en Europe centrale où elle croit qu'il se terre. Sur place, elle retrouve Wallace, un scientifique américain, qui traque aussi le SS car ce dernier a mis au point une incroyable machine capable de transformer des soldats nazis décédés en zombies invincibles. Pendant que les forces de l'OTAN tentent de ralentir la progression de la nouvelle armée du IVe Reich, Lena et Wallace se joignent à un commando de soldats d'élite qui a reçu pour mission de détruire la machine dissimulée au fond d'un bunker.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cinq ans après OUTPOST, Steve Barker récidive avec ce nouvel épisode grotesque où s'emballent des nazis zombies assoiffés de pouvoir et de sang. Contrairement à NEIGE MORTELLE de Tommy Wirkola, qui exploitait de façon divertissante la même idée absurde, cette nouvelle mouture inspire plus de bâillements que de cris. Le scénario confus et sans rigueur accumule les incohérences et ne génère aucune tension dramatique. Et ce n'est pas le clin d'oeil à Indiana Jones qui sauve le film du ridicule. Si la réalisation technique est à peu près au point, les séquences gore et les maquillages n'impressionnent guère. L'interprétation d'ensemble est vigoureuse, à défaut d'être nuancée.

Texte : Olivier Lefébure

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