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Les Psychopathes (Seven Psychopaths)

G.-B. 2012. Comédie de Martin McDonagh avec Colin Farrell, Sam Rockwell, Christopher Walken. Un scénariste en panne d'inspiration est entraîné par un ami acteur dans une folle histoire de kidnapping de chien. Intrigue folichonne jouant d'intertextualité et de mise en abyme. Manque de cohésion. Réalisation vive et colorée. Interprétation jouissive. (sortie en salle: 12 octobre 2012)

13 ans + (violence)
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Les Psychopathes (Seven Psychopaths)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

G.-B. 2012. Comédie de Martin McDonagh avec Colin Farrell, Sam Rockwell, Christopher Walken.

Un scénariste en panne d'inspiration est entraîné par un ami acteur dans une folle histoire de kidnapping de chien. Intrigue folichonne jouant d'intertextualité et de mise en abyme. Manque de cohésion. Réalisation vive et colorée. Interprétation jouissive. (sortie en salle: 12 octobre 2012)

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Incapable de terminer son dernier scénario intitulé "Sept psychopathes", Marty, un Irlandais alcoolique installé à Hollywood, est mis à la porte par sa copine. Il échoit sur le divan de son meilleur ami Billy, un acteur raté doublé d'un kidnappeur de chiens. Lorsque Billy et son complice Hans enlèvent le bien-aimé shih tzu d'un dangereux gangster, celui-ci flaire rapidement leur piste, les forçant à prendre la fuite dans le désert. Entraîné malgré lui dans la cavale, Marty profite de l'occasion pour se sortir de son impasse créatrice en demandant leur aide à Billy et Hans. Leurs histoires respectives en viennent à nourrir son scénario, lequel finit par ressembler à la réalité de manière aussi troublante que cocasse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après IN BRUGES, Martin McDonagh se fend d'une autre comédie policière folichonne campée dans le monde des gangsters et des assassins, avec cette fois Hollywood et ses périls en guise de toile de fond. Suivant les traces de Shane Black, scénariste de LAST ACTION HERO et réalisateur de KISS KISS, BANG BANG, McDonagh profite de ce contexte singulier pour jouer à fond la carte de l'intertextualité et de la mise en abyme. Or, si son récit comporte son lot de trouvailles loufoques et d'observations avisées, il souffre aussi d'un certain manque de cohésion. Il est en outre parfois difficile de déterminer si l'approche "tarantinienne" du dialogue relève de la satire, de l'hommage ou de l'imitation. Cela étant, la réalisation s'avère vive et colorée et l'interprétation, des plus jouissives.

Texte : François Lévesque

COMMENTAIRES

31 décembre 2018, 15:39:58

Par : Alexis Laperle, Sherbrooke

Le début est correcte mais plus le film avance, mieux c'est et il contient une scène dans un cimetière qui mérite le détour à elle seule. J'hésite entre (3) et (4).

J'attribue à ce film la Cote 3


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