Malgré l'honnêteté de l'approche, on dénote (...) une certaine maladresse sur le plan formel. Toutefois, ce léger impair stylistique ne nuit pas au documentaire et ne porte nullement ombrage à la recherche rigoureuse, riche et exhaustive de la documentariste.

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Travail de cinéaste-archéologue, LE CHANT DES ONDES, par la qualité des témoins qu'il rassemble et la sensibilité complice avec laquelle ils sont filmés (...), est un film d'émotions autant que de connaissances (...). [c'est] un film précieux, ludique autant que didactique.

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Ce très beau documentaire, qui marie habilement les photos et les films d’archives aux entrevues et aux concerts, constitue une plongée dans l’univers des ondes Martenot. (...) Quasi-secte initiatique, que celle des ondistes? Caroline Martel joue avec cette dimension parallèle, conférant au film une mystique mélomane.

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Rather than make a “cliché music doc”, Martel got carried away by the spirit of the Ondes (...). The result is an entrancing, inquisitive film that advances in many directions at once, following traces and picking up trails as it attempts to capture the intrigue that has drawn people to the Ondes for so many decades.

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Fort des interventions de Jean-Louis Martenot, Suzanne Binet-Audet et Jonny Greenwood, ce documentaire s’appuie (...) sur une recherche colossale, un choix d’archives pertinent et un montage fluide qui en font une leçon de musique doublée d’un cours d’histoire des plus captivants.

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Musiques et films d'archives à l'appui (...), [Martel] raconte (...) une histoire unique qui remonte à la guerre de 14-18. Entre quête artistique et quête scientifique, le résultat s'avère d'une étonnante profondeur, voire d'une grande beauté, surtout lorsque la caméra parcourt (...) les entrailles de l'instrument.

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