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Dead Before Dawn

Can. 2012. Comédie d'horreur de April Mullen avec Devon Bostick, Christopher Lloyd, Martha MacIsaac. Un groupe de collégiens brise accidentellement une urne maléfique, créant de multiples zémons, mélange de zombies et de démons. Variation outrancière sur un thème rebattu. Scénario épousant à la fois les poncifs de la romance étudiante et du drame d'horreur. Réalisation modeste. Effets parfois percutants. Interprétation énergique mais sans finesse.

13 ans + (horreur)
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Dead Before Dawn (Dead Before Dawn)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

Can. 2012. Comédie d'horreur de April Mullen avec Devon Bostick, Christopher Lloyd, Martha MacIsaac.

Un groupe de collégiens brise accidentellement une urne maléfique, créant de multiples zémons, mélange de zombies et de démons. Variation outrancière sur un thème rebattu. Scénario épousant à la fois les poncifs de la romance étudiante et du drame d'horreur. Réalisation modeste. Effets parfois percutants. Interprétation énergique mais sans finesse.

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Casper refuse de mettre les pieds dans la boutique d'objets occultes de son grand-père, ayant vécu là un événement traumatisant pendant son enfance. Alors qu'il se voit forcé de la surveiller en l'absence du propriétaire, ses camarades de collège y débarquent, tous curieux devant une urne considérée maléfique. En la manipulant, ils la brisent en mille miettes, s'amusant à prononcer de ridicules mauvais sorts. Quelques heures plus tard, des manifestations inquiétantes surgissent un peu partout dans la ville, provoquant l'apparition de multiples zémons, mélange de zombies et de démons. Leurs regards transformant les autres personnes en zémons, Casper et ses copains n'ont que peu de temps pour renverser la malédiction.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'actrice et cinéaste canadienne April Mullen (GRAVYTRAIN) entrecroise deux genres dont les codes souffrent d'une usure évidente: la romance étudiante et le film de zombies. Elle en propose une variation résolument grotesque et outrancière, qui sombre parfois dans le ridicule. La deuxième moitié du film regorge bien sûr de scènes sanguinolentes, offrant ainsi un spectacle amusant à défaut d'être captivant ou horrifiant. Tout cela s'affiche dans une pauvreté relative, la drôlerie cherchant ainsi à masquer les limites des moyens déployés. Cette modestie est également apparente du côté de la distribution, Christopher Lloyd (BACK TO THE FUTURE), avec ses tics habituels, n'offrant qu'une présence furtive pour susciter une certaine curiosité. Les jeunes interprètes qui forment le noyau dur du film se prêtent au jeu avec beaucoup d'énergie mais sans une once de subtilité.

Texte : André Lavoie

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