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Activité paranormale 4 (Paranormal Activity 4)

É.-U. 2012. Drame fantastique de Henry Joost, Ariel Schulman avec Kathryn Newton, Katie Featherston, Brady Allen. Une adolescente entreprend de documenter les phénomènes paranormaux dont sa maison est le théâtre depuis l'arrivée d'un mystérieux petit voisin. Épisode redondant d'une série à succès. Scénario poussif truffé d'incohérences. Réalisation routinière. Interprétation inégale. (sortie en salle: 19 octobre 2012)

13 ans +
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Activité paranormale 4 (Paranormal Activity 4)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 2012. Drame fantastique de Henry Joost, Ariel Schulman avec Kathryn Newton, Katie Featherston, Brady Allen.

Une adolescente entreprend de documenter les phénomènes paranormaux dont sa maison est le théâtre depuis l'arrivée d'un mystérieux petit voisin. Épisode redondant d'une série à succès. Scénario poussif truffé d'incohérences. Réalisation routinière. Interprétation inégale. (sortie en salle: 19 octobre 2012)

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Henderson, une banlieue tranquille quelque part dans le Nevada. Alex, 15 ans, et Wyatt, 6 ans, mènent une existence sans histoire auprès de leurs parents jusqu'au jour où une jeune femme et son fils emménagent dans la maison d'en face. À la suite de l'hospitalisation soudaine de la première, le gamin, Robbie, est recueilli par la famille d'Alex. L'adolescente ne met pas un long moment avant d'associer l'enfant aux phénomènes étranges qui surviennent depuis peu dans la maison. Avec son petit ami Ben, elle documente ces manifestations au moyen de webcams et autres téléphones intelligents. De plus en plus violente, l'entité qui hante la maison semble s'intéresser à Wyatt. Par ailleurs, Alex ignore que la voisine hospitalisée n'est autre que Katie, la célèbre jeune femme possédée qui avait tué son mari Micah et sa soeur Kristi, avant de kidnapper le bébé de cette dernière.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Récapitulons: PARANORMAL ACTIVITY était campé en 2006, le second volet se déroulait en parallèle, tandis que le troisième revenait aux origines, en 1988. Ce quatrième opus réutilise la fin du deuxième film en guise de prologue, puis se transporte en 2011. Tout ça pour aboutir à une intrigue redondante qui, hormis la mise à jour de la technologie de ses outils de captation, recycle les ingrédients originaux sans les réinventer ni même les bonifier. Poussif et truffé d'incohérences quant à la psychologie des personnages et à leurs réactions, le scénario est trop manifestement régi par le canevas établi dans les deux premiers films. Il en va de même pour la réalisation, très routinière. Hormis la jeune Kathryn Newton, convaincante en Nancy Drew du paranormal, la distribution offre un jeu inégal.

Texte : François Lévesque

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