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The Hat Goes Wild

Can. 2011. Thriller de Guy Sprung avec Sarah Hansen, Matthew Raudsepp, Vanessa Matsui. Au cours d'une expédition de canot-camping, cinq adolescents montréalais découvrent qu'ils sont en possession d'un sac rempli de cocaïne. Faux documentaire à la prémisse forcée. Dialogues démonstratifs et artificiels. Réalisation plutôt dynamique. Interprétation inégale. (sortie en salle: 27 avril 2012)

13 ans +
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The Hat Goes Wild (The Hat Goes Wild)

13 ans + 13 ans +

Can. 2011. Thriller de Guy Sprung avec Sarah Hansen, Matthew Raudsepp, Vanessa Matsui.

Au cours d'une expédition de canot-camping, cinq adolescents montréalais découvrent qu'ils sont en possession d'un sac rempli de cocaïne. Faux documentaire à la prémisse forcée. Dialogues démonstratifs et artificiels. Réalisation plutôt dynamique. Interprétation inégale. (sortie en salle: 27 avril 2012)

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Filmoption International
Pour célébrer la fin de l'année scolaire, six adolescents montréalais, dont deux francophones, partent en expédition de canot-camping dans la nature sauvage. Mais en route, l'un d'eux est abandonné à une halte, après avoir tenté d'agresser sexuellement une des passagères. Or, arrivés à destination, les cinq jeunes découvrent que la tête brûlée a laissé dans la voiture un sac rempli de cocaïne. Du coup, le périple, filmé en continu par une des participantes, prend une tournure dramatique qui mettra à rude épreuve la fibre morale de chacun.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Reprenant à son compte la formule archi-usée du faux documentaire, ici à la sauce DELIVERANCE, le Montréalais Guy Sprung accouche d'un suspense à la prémisse forcée, dont les dialogues s'avèrent démonstratifs et artificiels. Les thèmes du bilinguisme au Québec, du racisme envers les minorités visibles, des abus sexuels et ses séquelles, de la cupidité versus l'honnêteté, voire de la possibilité des mondes parallèles, sont tous abordés de manière superficielle, sans la moindre subtilité. Le cynisme de la conclusion retient toutefois l'attention et la réalisation est assez dynamique. Les interprètes s'en tirent dans l'ensemble plutôt bien, à l'exception de l'énervée et énervante Sarah Hansen et du caricatural Mackenzie Rio Davis qui, lors de ses rares apparitions, joue affreusement faux. À l'inverse, Normand D'Amour est assez divertissant dans un double rôle.

Texte : Louis-Paul Rioux

Revue de presse

Enthusiastic Excursion Into Genre Cinema

Some movies are best not taken too seriously. There are many levels of silliness to (...) Guy Sprung’s fiction feature film debut THE HAT GOES WILD. Borrowing liberally from horror and B-movies, it’s a campy, low-budget feature steeped in awkwardness, irony and bad dialogue.

Hat Goes Wild, The Guy Sprung

Le Québec profond

THE HAT GOES WILD ne relève ni du fantastique ni de l’horreur. (...) Il s’agit d’un thriller, essentiellement. Pris comme tel, le film fonctionne plutôt bien, suivant les codes du genre, malgré quelques fâcheuses invraisemblances, et capte l’intérêt jusqu’au punch final.

Hat Goes Wild, The Guy Sprung

Unintentionally Hilarious

The plot of this absolute load of rubbish had me laughing uncontrollably in my seat - but I don’t think that’s what Sprung was aiming for.

Hat Goes Wild, The Guy Sprung

Des tortues et des jeunes

(...) ce pénible drame en forêt (...) emprunte sans imagination à LE PROJET BLAIR et à DÉLIVRANCE. Dans un double rôle, (...) Normand D'Amour peine à élever le niveau de ce qui finit par ressembler à un laborieux pastiche de slasher des années 70.

Hat Goes Wild, The Guy Sprung

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