Can. 2011. Comédie de Ken Scott (II) avec Patrick Huard, Julie Le Breton, Antoine Bertrand. Un homme immature de 42 ans, qui a fait maints dons de sperme dans sa jeunesse, doit faire face au recours collectif de 142 de ses 533 enfants biologiques. Thème rebattu abordé de façon originale. Ton doux-amer attachant. Longueurs et répétitions. Musique envahissante. Jeu nuancé et sensible de Patrick Huard. (sortie en salle: 27 juillet 2011)
Général (déconseillé aux jeunes enfants) Can. 2011. Comédie de Ken Scott (II) avec Patrick Huard, Julie Le Breton, Antoine Bertrand.
Un homme immature de 42 ans, qui a fait maints dons de sperme dans sa jeunesse, doit faire face au recours collectif de 142 de ses 533 enfants biologiques. Thème rebattu abordé de façon originale. Ton doux-amer attachant. Longueurs et répétitions. Musique envahissante. Jeu nuancé et sensible de Patrick Huard. (sortie en salle: 27 juillet 2011)
Olivier de Bruyn - Le Point
(...) dans ce film décapant, [Ken Scott] honore tout à la fois la "pure" comédie (scénario inventif, dialogues efficaces, rythme impeccable) et signe un précipité stimulant sur la paternité et ses troubles.
Cécile Mury - Télérama
En soi, l'idée est déjà irrésistible. Le vrai cadeau, c'est qu'elle tient sa promesse de fantaisie tout au long de ce conte familial comique et tendre. Derrière l'aimable (...) loufoquerie, il y a (...) le portait attachant d'un vieil ado immature au charme flottant.
Stephen Cole - The Globe and Mail
And the film's you-don't-have-to-grow-old-to-grow-up message is formula stuff. STARBUCK is unapologetic genre filmmaking with a winning performance from its lead, (...) likeable comedian who can flip, flop and fly off a diving board while maintening his sex appeal.
Marc-André Lemieux - Métro
"Écrire un film pour écrire un film, ça ne m'excitait pas, souligne Martin Petit. Mais je me disais que c'était une histoire qui n'avait jamais été racontée. On trouvait que c'était une idée suffisamment originale pour qu'on prenne le temps de l'approfondir."
François Lévesque - Le Devoir
La sincérité, voire la candeur avec laquelle les protagonistes parlent de dysfonction érectile et de bouffées de violence contenue, respectivement, incite à la réflexion bien plus qu'au jugement, une fois passé le rire grinçant.
Nicolas Gendron - Ciné-Bulles
La présence du "gars des vues" est tangible tout au long du film, mais ne dérange en aucune façon, puisque le gars en question a ficelé son récit tel un métier à tisser, patiemment, avec une tendresse relayée par des interprètes attachants.
Helen Faradji - 24 Images
(...) le film se distingue du lot. Par sa mise en scène d'abord. Refusant de céder à la complaisance d'une réalisation convenue (...), Scott y peaufine direction photo (...) et cadrages pour laisser ses personnages réellement occuper le champ.
Maxime Demers - Le Journal de Montréal
Scott a trouvé le ton juste, qui mélange avec finesse comédie, drame, ironie, tendresse et sensibilité, avec un soupçon de bons sentiments. (...) Scott et Petit ont su bien doser l’humour, en ne cherchant pas à multiplier les gags à tout prix.
Manon Dumais - Voir
(...) tout n’est pas toujours plausible et le récit devient par endroits schématique, mais le tout est si sincèrement mené, la réalisation alerte sert si bien le propos (...) que l’on embarque sans se faire prier.
Mathieu Séguin-Tétreault - Séquences
(...) STARBUCK, nonobstant ses défauts inhérents (...), réussit le pari qu'il s'est donné: livrer un divertissement populaire honnête et efficace qui assume pleinement son côté feel good movie à l'américaine.
André Duchesne - La Presse
Ken Scott et (...) Martin Petit ont su trouver l'équilibre qu'il fallait pour rendre l'ensemble crédible. Le ton est juste sans jamais être appuyé ou tomber dans le pathos. Les répliques solides. Les blagues font mouche.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
