(...) ce récit aux thèmes archiconnus (...) piétine par moments (...). L'animation par ordinateur ne manque cependant pas de panache. La palette savamment choisie évoque celle des westerns en Technicolor de l'âge d'or. Aussi, les expressions faciales sont d'une grande précision, ce qui tient de l'exploit étant donné la très large panoplie de physionomies représentées.

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(...) most exceptional is the visual style, which makes even the best animated 3D look like a poor cousin. More than in any other animated work that comes to mind, meticulous attention has been paid to light and shadow, to gradations of color, to details of faces, costumes and props and to the framing of shots.

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RANGO est dessiné comme un véritable western spaghetti, où les jeux d’ombres et de lumière s’entremêlent et où les créatures du désert sont (des) plus étranges. (...) Dans l’ensemble, RANGO est un film à la fois bizarre et amusant, avec en prime quelques apartés savoureux et un brin philosophiques, et des références cinématographiques dont se délecteront les adultes.

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(...) RANGO is full of cute touches and funny moments, some of which are so subtle they get lost in the broader sweep. Working on its first animated feature, Industrial Light & Magic produces some beautiful images (...). But also (...), RANGO feels simultaneously over-stuffed and slow, too packed with detail and short on dramatic momentum.

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Ce film, truffé de clins d’œil, distille (...) un type d’humour que les adultes apprécieront probablement davantage que les tout-petits. D’autant que certains gags défient les limites de la cote «tous publics». À cet égard, il convient de souligner la très nette volonté de Verbinski et de son équipe d’animateurs d’offrir autre chose qu’une production bien lisse.

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