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Piranha 3DD

É.-U. 2011. Drame d'horreur de John Gulager avec Danielle Panabaker, Matt Bush, Chris Zylka. Libérés par un tremblement de terre sous-marin, des piranhas préhistoriques se repaissent du personnel et des visiteurs d'un parc aquatique "pour adultes". Suite poussive du remake d'un film-culte. Intrigue accessoire. Humour potache inopérant. Réalisation répétitive. Interprétation approximative. (sortie en salle: 1 juin 2012)

16 ans + (horreur, érotisme)
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Piranha 3DD (Piranha 3DD)

16 ans + (horreur, érotisme) 16 ans + (horreur, érotisme)

É.-U. 2011. Drame d'horreur de John Gulager avec Danielle Panabaker, Matt Bush, Chris Zylka.

Libérés par un tremblement de terre sous-marin, des piranhas préhistoriques se repaissent du personnel et des visiteurs d'un parc aquatique "pour adultes". Suite poussive du remake d'un film-culte. Intrigue accessoire. Humour potache inopérant. Réalisation répétitive. Interprétation approximative. (sortie en salle: 1 juin 2012)

Merkin, Arizona. Maddy, biologiste marine, voit d'un mauvais oeil la réouverture prochaine du parc aquatique créé par sa défunte mère. Et pour cause: son beau-père Chet a transformé cette destination familiale en centre de divertissement "pour adultes seulement", avec au menu stipteaseuses et piscine nudiste. Tandis que Maddy et Chet continuent de se quereller, dans un lac tout proche, deux employés de l'établissement sont dévorés par un banc de piranhas. Alertée, Maddy appelle à la rescousse le docteur Goodman qui, l'année précédente, a eu l'occasion d'étudier ces carnassiers préhistoriques voraces, libérés par un tremblement de terre sous-marin. Malgré la menace qui gronde, Chet, buté, ouvre le parc comme prévu. Rapidement, sa clientèle jeune et dénudée fait les frais du manque de jugement de l'entrepreneur, qui en est réduit à faire le décompte des dépouilles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour inutile qu'elle soit, cette suite poussive du remake d'un film-culte de Joe Dante (GREMLINS) a le mérite d'être honnête, c'est-à-dire conforme à ce que son titre annonce en toutes lettres. Au-delà duquel rien ne va plus. L'intrigue est en effet tout juste bonne à lier entre elles les séquences sanguinolentes. Là où le volet précédent optait pour l'irrévérence et la satire en règle de la culture du "spring break", cet opus-ci se borne à faire plus vulgaire, plus cochon, plus sanglant. Or, l'humour potache, la nudité racoleuse et les effets spéciaux de qualité moyenne manquent de convaincre. La réalisation répétitive de John Gulager (FEAST I, II, III) et l'interprétation approximative sont au diapason de l'ensemble.

Texte : François Lévesque

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