Remarquable

Numéro quatre (I Am Number Four)

Name: Numéro quatre
Director: D.J. Caruso
Genre: Science-fiction
Released: 2010-10-01 16:05:21
Duration: 110 min.

É.-U. 2011. Science-fiction de D.J. Caruso avec Alex Pettyfer, Timothy Olyphant, Teresa Palmer. Réfugié sur Terre depuis sa naissance, un jeune extraterrestre doté de pouvoirs paranormaux tente d'échapper aux ennemis de sa race qui ont retrouvé sa trace. Scénario confus. Dialogue affligeant. Réalisation tapageuse. Effets spéciaux d'inégale tenue. Interprètes mal dirigés. (sortie en salle: 18 février 2011)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Numéro quatre (I Am Number Four)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2011. Science-fiction de D.J. Caruso avec Alex Pettyfer, Timothy Olyphant, Teresa Palmer.

Réfugié sur Terre depuis sa naissance, un jeune extraterrestre doté de pouvoirs paranormaux tente d'échapper aux ennemis de sa race qui ont retrouvé sa trace. Scénario confus. Dialogue affligeant. Réalisation tapageuse. Effets spéciaux d'inégale tenue. Interprètes mal dirigés. (sortie en salle: 18 février 2011)

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Genre :

Science-fiction

Année :

2011

Durée :

110 min.

Réalisation :

D.J. Caruso

Scénario :

Alfred Gough
Miles Millar
Marti Noxon
D'après le roman de Pittacus Lore

Photographie :

Guillermo Navarro

Musique :

Trevor Rabin

Montage :

Vince Filippone
Jim Page

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Buena Vista

Interprètes :

Alex Pettyfer
Timothy Olyphant
Teresa Palmer
Dianna Agron
Callan McAuliffe
Kevin Durand
Jake Abel
Jeff Hochendoner
Patrick Sebes
Emily Wickersham
Greg Townley

site officiel

John est un jeune extraterrestre qui a grandi sur notre planète. Quatrième parmi neuf survivants de sa race, il va de ville en ville avec Henri, son protecteur, afin de fuir les Mogadoriens, des guerriers sanguinaires qui ont décimé les leurs et qui à présent traquent les neuf élus. Relocalisé dans une petite ville de l'Ohio, l'adolescent s'éveille à l'amour grâce à Sarah, une jeune photographe, tout en se familiarisant avec les pouvoirs paranormaux qu'il ignorait posséder. Il se lie également d'amitié avec Sam, le souffre-douleur de l'école qui croit aux extraterrestres. Et malgré la désapprobation de Henri, John persiste à entretenir ces deux relations. Lorsqu'arrivent les Mogadoriens, le garçon refuse de partir, privilégiant l'affrontement. Pour ce faire, il pourra compter sur le soutien de ses nouveaux amis ainsi que sur celui, inespéré, de Jane, alias Numéro 6, qui l'a elle aussi pisté.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rompu aux grosses productions d'action et de suspense (TAKING LIVES, EAGLE EYE), D.J. Caruso revient avec I AM NUMBER FOUR au genre qui a fait son succès à la télévision: la science-fiction. Reprenant plusieurs éléments de la série "Smallville", dont il avait réalisé le premier épisode, le cinéaste tente ici de jeter les bases d'une nouvelle mythologie. Sans succès. Pour exposer puis décliner son univers, le scénario s'en remet en fait beaucoup trop au dialogue, et comme celui-ci est affligeant, l'ensemble de la production sombre vite dans le ridicule. La réalisation tapageuse échoue lamentablement à soutenir la tension ou à rendre crédible l'aspect sentimental du récit. Les effets spéciaux, tantôt excellents, tantôt ordinaires, ne camouflent jamais la vacuité de l'ensemble, pas plus que les interprètes, fort mal dirigés. Comble de malchance, la fin laisse toute grande ouverte la porte à d'éventuelles suites.

Texte : François Lévesque

COMMENTAIRES

04 mai 2015, 10:48:07

Par : Yvan Godbout, L'Ange Gardien

Bof, bof et rebof. Pourtant adapté d'un roman à succès, ce film reste un produit formaté pour adolescents boutonneux en manque de sensations fortes. La mise en scène tonitruante et boursoufflée de D.J.Caruso (le pourtant très bien Eagle Eye) tente par tous les moyens de nous faire oublier la faiblesse du scénario et ses dialogues risibles et insipides. Les jeunes acteurs sont bien beaux mais ils sont effroyablement mal dirigés. Reste toutefois quelques effets spéciaux intéressants et une ou deux séquences d'action bien troussées. La dernière demi-heure vient aussi sauvé le film d'un total naufrage. Espérons que la suite (si suite il y a), sera supérieur à ce premier opus assez tiède.

J'attribue à ce film la Cote

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