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À la folie (Like Crazy)

É.-U. 2011. Drame sentimental de Drake Doremus avec Anton Yelchin, Felicity Jones, Jennifer Lawrence. Négligeant de renouveler son visa de séjour, une étudiante anglaise se voit forcée de vivre sa passion à distance pour un camarade de classe américain. Intrigue sentimentale d'une grande finesse psychologique. Mise en scène souple. Dialogues en partie improvisés. Belle complicité entre les deux principaux interprètes. (sortie en salle: 11 novembre 2011)

Général
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À la folie (Like Crazy)

Général Général

É.-U. 2011. Drame sentimental de Drake Doremus avec Anton Yelchin, Felicity Jones, Jennifer Lawrence.

Négligeant de renouveler son visa de séjour, une étudiante anglaise se voit forcée de vivre sa passion à distance pour un camarade de classe américain. Intrigue sentimentale d'une grande finesse psychologique. Mise en scène souple. Dialogues en partie improvisés. Belle complicité entre les deux principaux interprètes. (sortie en salle: 11 novembre 2011)

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Alors qu'elle étudie le journalisme à Los Angeles, Anna, une jeune Anglaise, tombe amoureuse, et réciproquement, de Jacob, un étudiant qui se destine au design de meubles. Parce que son amour occupe toutes ses pensées, Anna néglige de renouveler son visa de séjour. Si bien qu'à la suite d'une visite familiale en Angleterre, les douanes américaines refusent de la laisser revenir aux États-Unis. Le couple se résigne ainsi à entretenir sa passion à distance, du moins pour un temps. Jacob aménage dans un loft à Santa Monica où il installe son atelier tandis que la carrière d'Anna au sein d'un magazine londonien prend son envol. Après quelques visites à Londres, et de brèves liaisons chacun de leur côté, Jacob accepte d'épouser Anna, croyant faciliter sa demande d'immigration.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Drake Doremus (DOUCHEBAG) illustre les dangers des amours contrariées dans ce film d'une grande finesse psychologique et résolument anti-hollywoodien au plan du traitement, qui nous fait passer de l'idylle sans nuages à la tempête socio-juridique complexe. Le tableau est brossé au moyen d'une caméra nerveuse et souple, au plus près des acteurs, et d'un montage parfois accidenté. Le même dépouillement caractérise les dialogues, quelques fois improvisés, illustrant bien la complicité gracieuse qui lie les deux interprètes principaux, Felicity Jones (CHERI) et Anton Yelchin (CHARLIE BARTLETT).

Texte : André Lavoie

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