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Le Grand Soir (Prom)

É.-U. 2011. Comédie sentimentale de Joe Nussbaum avec Aimee Teegarden, Thomas McDonell, Kylie Bunbury. Contraints de travailler ensemble à l'organisation du bal de fin d'année, une élève modèle et un jeune rebelle tombent amoureux. Scénario cousu de clichés et de lieux communs. Dialogues peu mémorables. Un certain souci d'authenticité dans la réalisation. Interprètes attachants. (sortie en salle: 29 avril 2011)

Général
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Le Grand Soir (Prom)

Général Général

É.-U. 2011. Comédie sentimentale de Joe Nussbaum avec Aimee Teegarden, Thomas McDonell, Kylie Bunbury.

Contraints de travailler ensemble à l'organisation du bal de fin d'année, une élève modèle et un jeune rebelle tombent amoureux. Scénario cousu de clichés et de lieux communs. Dialogues peu mémorables. Un certain souci d'authenticité dans la réalisation. Interprètes attachants. (sortie en salle: 29 avril 2011)

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À trois semaines du bal de fin d'année, Nova Prescott, l'étudiante en charge de tous les préparatifs, peut enfin souffler: tout est prêt. Malheureusement, un incendie dans l'entrepôt où étaient rangées les décorations la ramène à la case départ, sans que son comité ne puisse cette fois l'aider, chacun étant occupé ailleurs. Sur ordre du directeur, Jesse, un jeune rebelle qui sèche les cours, est forcé d'aider Nova à tout reprendre. Au fil de leurs rencontres, Jesse se rend compte que Nova n'est pas superficielle comme il le croyait et celle-ci constate que le manque d'assiduité de Jesse s'explique par le fait qu'il prend soin de son petit frère. Bien que tout les sépare, des sentiments naissent entre eux, ce qui déplaît au père de Nova. Dans leur école secondaire, d'autres couples se font et se défont. La belle Jordan rompt avec Tyler, le footballeur étoile, après l'avoir surpris avec Simone, qui le croyait libre et qui est de son côté courtisée par Lucas.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Joe Nussbaum n'est pas étranger aux récits sentimentaux estudiantins, comme en fait foi son précédent SYDNEY WHITE. À ce chapitre, PROM obéit à peu près à toutes les conventions du genre. Ainsi le scénario, cousu de clichés et de lieux communs, plombé par des dialogues peu mémorables, s'avère prévisible au possible. Il importe toutefois de signaler la bonne humeur sincère de l'entreprise ainsi que l'étonnant parti pris d'authenticité de la mise en scène, particulièrement dans l'illustration du rituel scolaire au quotidien. Bien qu'ils soient contraints de défendre des archétypes, les jeunes interprètes, ainsi que les quelques adultes qui composent la distribution, sont tous attachants et convaincants.

Texte : François Lévesque

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