Can. 2011. Film d'essai de Tony Asimakopoulos . Après dix ans d'absence, un cinéaste revient s'établir à Montréal où les problèmes qui l'avaient forcé à partir refont surface. Portrait de famille poétique, sensible et nuancé. Réflexion inspirée sur le pouvoir de l'art. Réalisation inventive, aux angles parfois mal équarris.
Après dix ans d'absence, un cinéaste revient s'établir à Montréal où les problèmes qui l'avaient forcé à partir refont surface. Portrait de famille poétique, sensible et nuancé. Réflexion inspirée sur le pouvoir de l'art. Réalisation inventive, aux angles parfois mal équarris.
Martin Bilodeau - Le Devoir
Son retour (...) a (...) inspiré la création de FORTUNATE SON (...), un documentaire poétique, impudique et d'une beauté émouvante. (...) [C']est un home movie de haute voltige, à travers lequel le cinéaste dévoile un visage de l'enfermement immigrant inédit au cinéma.
Brendan Kelly - The Gazette
The cameras follow the four of them back to the two villages in Greece where his parents grew up, but the tension doesn’t fade one iota on family vacation. Like everything here, that angst is great for the dramatic arc of the film - not so great for the people involved.
Guillaume Fournier - Voir
Même si l’on remarque une certaine improvisation (...), on (...) ressent bien l’urgence qui se cache derrière les gestes d’Asimakopoulos, qui arrive finalement à construire, comme par miracle, le récit émouvant mais imparfait d’une famille… imparfaite.
Malcolm Fraser - Mirror
The result is a warts-and-all portrait, both of Asimakopoulos’s parents (...) and of the filmmaker himself, who exposes his own insecurities and flaws to an uncomfortable degree.
Philippe Renaud - La Presse
La caméra de proximité de Tony Asimakopoulos capte des images sans pudeur de cette attachante famille, exposée de telle manière que chaque plan, chaque scène, contribue à notre compréhension des différentes relations entre ses membres.