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La Nuit des enfants rois (The Prodigies)

Fr. 2011. Film d'animation de Antoine Charreyron . Un génie informatique doté de formidables pouvoirs psychiques fait venir à New York cinq adolescents possédant les mêmes dons que lui. Adaptation percutante d'un roman de Bernard Lenteric. Réalisation fluide au graphisme très stylisé. Intrigue à intensité variable. (sortie en salle: 24 février 2012)

13 ans + (violence)
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La Nuit des enfants rois (The Prodigies)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Fr. 2011. Film d'animation de Antoine Charreyron .

Un génie informatique doté de formidables pouvoirs psychiques fait venir à New York cinq adolescents possédant les mêmes dons que lui. Adaptation percutante d'un roman de Bernard Lenteric. Réalisation fluide au graphisme très stylisé. Intrigue à intensité variable. (sortie en salle: 24 février 2012)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Remstar
Génie informatique doté de formidables pouvoirs psychiques, Jimbo Farrar devient le protégé de Charles Killian, un industriel new-yorkais aussi doué que lui, à la tête d'un vaste empire médiatique. Tous les deux consacrent leurs énergies à la recherche d'enfants possédant les mêmes pouvoirs qu'eux, à l'aide d'un jeu en ligne impossible à solutionner pour le commun des mortels. Dix ans passent avant que trois garçons et deux filles n'y parviennent. Avant que Jimbo n'ait eu le temps de les contacter, Killian meurt et sa fille Mélanie hérite de sa fortune. Jimbo essaie de la convaincre de poursuivre le travail de son père en créant le jeu télévisé "American Genius", dont les cinq gagnants seront bien sûr ses nouveaux protégés. Mais une escapade nocturne dans Central Park dégénère en sauvage agression contre les surdoués, qui fomentent alors un terrible projet de vengeance contre le genre humain. Jimbo doit les arrêter avant qu'ils n'atteignent la Maison blanche.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette adaptation du roman de Bernard Lenteric datant de 1981 se distingue des modèles du genre (THE VILLAGE OF THE DAMNED, SCANNERS, X-MEN, etc.) par une illustration graphique très stylisée, une exploitation assurée de la technique du "motion capture" et une réalisation fluide qui, pour rendre justice à la jungle urbaine new-yorkaise, fait un usage saisissant du 3D. Dans la première partie, la force dramatique du scénario repose sur la personnalité bien dessinée de Jimbo, un adolescent tourmenté qui apprend à canaliser son pouvoir pour aider les autres à s'ouvrir au monde. Mais la seconde partie multiplie les scènes d'une violence inouïe qui font basculer le film dans l'esprit revanchard puéril des jeux vidéos où la menace de l'hécatombe nucléaire refait surface. L'ensemble demeure cependant efficace et le dénouement relativement nuancé rachète quelque peu ce dérapage.

Texte : André Caron

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