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La Maison des ombres (The Awakening)

G.-B. 2011. Drame d'horreur de Nick Murphy avec Rebecca Hall, Dominic West, Imelda Staunton. Les certitudes d'une jeune experte en débusquement de faux médiums sont ébranlées après qu'elle eut accepté d'enquêter dans un pensionnat isolé sur des phénomènes paranormaux. Production somptueuse exploitant des motifs éprouvés. Scénario bien construit. Réalisation élégante. Interprétation solide. (sortie en salle: 17 août 2012)

13 ans +
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La Maison des ombres (The Awakening)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 2011. Drame d'horreur de Nick Murphy avec Rebecca Hall, Dominic West, Imelda Staunton.

Les certitudes d'une jeune experte en débusquement de faux médiums sont ébranlées après qu'elle eut accepté d'enquêter dans un pensionnat isolé sur des phénomènes paranormaux. Production somptueuse exploitant des motifs éprouvés. Scénario bien construit. Réalisation élégante. Interprétation solide. (sortie en salle: 17 août 2012)

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Grande-Bretagne, 1921. Auteure d'un ouvrage de référence en matière de scepticisme et experte en débusquement de faux médiums, la veuve de guerre Florence Cathcart est invitée à enquêter sur les phénomènes paranormaux qui ne cessent de survenir dans un pensionnat isolé. Sur place, l'enseignant Robert Mallory confronte les certitudes de la spécialiste, tout en convenant que les manifestations sont probablement l'oeuvre d'un des jeunes pensionnaires. Maud, la gouvernante, se montre plus circonspecte. Alors que l'établissement se vide à l'approche des vacances, Florence, Robert, Maud et Tom, un pupille orphelin, restent sur place. Au lieu de décroître, les phénomènes gagnent en intensité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La réalisation élégante, la photographie soignée et la reconstitution d'époque convaincante constituent les principaux atouts de cette production somptueuse. S'il reprend à son compte des motifs éprouvés ailleurs (L'ORPHELINAT, L'ÉCHINE DU DIABLE), le scénario assez bien construit se détourne des archétypes traditionnels pour brosser de captivants profils de femmes. À cet égard, l'héroïne n'est pas une victime fragile et névrosée (THE INNOCENTS, THE OTHERS), mais une femme de tête endurcie par son drame. Rebecca Hall (VICKY CHRISTINA BARCELONA, THE TOWN) se révèle à ce chapitre excellente. Pareillement, le personnage de la gouvernante s'avère ici plus pragmatique qu'inquiétant. Il va sans dire que dans ce rôle, la formidable Imelda Staunton (VERA DRAKE) sait tirer son épingle du jeu.

Texte : François Lévesque

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