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La Grande Année (The Big Year)

É.-U. 2011. Comédie de David Frankel avec Jack Black, Steve Martin, Owen Wilson. Une rivalité se dessine entre trois hommes qui participent à une prestigieuse compétition d'ornithologie, se déroulant sur une année. Récit sympathique, gâché par un ton moralisateur et une absence de tension dramatique. Réalisation vivante, bien rythmée. Interprétation assurée, mais un peu fade. (sortie en salle: 14 octobre 2011)

Général
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La Grande Année (The Big Year)

Général Général

É.-U. 2011. Comédie de David Frankel avec Jack Black, Steve Martin, Owen Wilson.

Une rivalité se dessine entre trois hommes qui participent à une prestigieuse compétition d'ornithologie, se déroulant sur une année. Récit sympathique, gâché par un ton moralisateur et une absence de tension dramatique. Réalisation vivante, bien rythmée. Interprétation assurée, mais un peu fade. (sortie en salle: 14 octobre 2011)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Howard Franklin
D'après le livre de Mark Obmascik
Photographie :
Musique :
Malgré la désapprobation de son père, Brad Harris, informaticien divorcé âgé de 36 ans, décide de participer à une compétition prestigieuse au sein de la communauté des amoureux des oiseaux: identifier le plus grand nombre d'espèces de volatiles sur le territoire de l'Amérique du Nord, au cours d'une année entière. Le tenant du titre, l'entrepreneur en construction Kenny Bostick, se lance lui aussi dans la course, afin de battre son record de 732 oiseaux identifiés, négligeant dans le processus son épouse, qui tente désespérément de tomber enceinte. Au cours de son périple à travers le continent, Brad fraternise avec Stu Preissler, un homme d'affaires de New York ayant enfin décidé de prendre sa retraite, au grand désarroi des cadres désorganisés de l'entreprise qu'il avait fondée. Alors que l'année s'achève, Brad et Stu conviennent de s'allier pour barrer la route au forcené et roublard Kenny, qui est une fois de plus en tête de la compétition.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette comédie librement inspirée de faits vécus ravira surtout les passionnés d'ornithologie, qui feront plus facilement l'impasse sur le ton moralisateur du récit, l'absence de réelle tension dramatique et le pathos de certaines scènes. Sans parler d'une romance un peu plaquée entre l'informaticien célibataire mal attifé et une charmante imitatrice de chants d'oiseaux, qui se tape tous les désagréments des voyages, sans toutefois prendre part à la compétition. La réalisation de David Frankel (THE DEVIL WEARS PRADA, MARLEY & ME), vivante et bien rythmée, n'abuse pas des effets de "slapstick" faciles que le décor naturel, souvent accidenté, auraient pu inspirer. De même, les trois vedettes, rompues aux performances physiques, offrent des prestations plus mesurées, à la limite de la fadeur toutefois.

Texte : Louis-Paul Rioux

Revue de presse

Sleepy Comedy

As is, THE BIG YEAR is pleasant enough, but finally suffers - pardon the analogy - from being neither fish nor fowl.

Grande Année, La David Frankel

Petite Comédie

Cette comédie attachante arrive rarement à provoquer de bons rires gras. (...) Au moins, les paysages sont magnifiques.

Grande Année, La David Frankel

Drôles de moineaux

Un film inoffensif, quoique drôle, et qui ne s'adresse pas aux adolescents friands de rires gras.

Grande Année, La David Frankel

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