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L'Ère des héros (Age of Heroes)

G.-B. 2011. Aventures de Adrian Vitoria avec Sean Bean, Danny Dyer, Aksel Hennie. En 1942, un commando anglais a pour mission de neutraliser une station radar allemande installée en Norvège, qui intercepte les messages des Alliés. Récit de guerre inspiré par les faits d'armes de l'écrivain Ian Fleming. Intrigue classique de mission suicide, riche en clichés. Personnages grossièrement définis. Réalisation saccadée. Interprétation peu nuancée.

13 ans + (violence)
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L'Ère des héros (Age of Heroes)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

G.-B. 2011. Aventures de Adrian Vitoria avec Sean Bean, Danny Dyer, Aksel Hennie.

En 1942, un commando anglais a pour mission de neutraliser une station radar allemande installée en Norvège, qui intercepte les messages des Alliés. Récit de guerre inspiré par les faits d'armes de l'écrivain Ian Fleming. Intrigue classique de mission suicide, riche en clichés. Personnages grossièrement définis. Réalisation saccadée. Interprétation peu nuancée.

En 1942, installée dans les montagnes norvégiennes, une station radar allemande ultra moderne intercepte les messages des Alliés, causant de fait de lourdes pertes à l'armée britannique. Membre des forces spéciales anglaises, le commandant Jones reçoit l'ordre de neutraliser la station ennemie. Pour mener à bien sa mission, il recrute d'anciens compagnons d'armes, auxquels se joint, par la menace, le caporal Bob Rains, incarcéré pour indiscipline. Conscient de l'importance de l'enjeu, Jones soumet ses hommes à un rude entraînement et tout particulièrement Rains. Parachuté quelques semaines plus tard en Norvège, le commando est pris en chasse par la 5e division de montagne de l'armée allemande.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bien qu'inspiré par les faits d'armes de l'écrivain anglais Ian Fleming (le créateur de James Bond), AGE OF HEROES s'inscrit plutôt dans la lignée des DIRTY DOZEN et autres GUNS OF NAVARONE, mais sans leur porter le moindre ombrage. Riche en invraisemblances et en clichés, ce récit de guerre propose une intrigue classique de mission suicide et de sacrifice héroïque au nom de la patrie. L'ensemble se révèle laborieux, bien peu spectaculaire et se conclut de manière prévisible et plutôt bâclée. À la réalisation, Adrian Vitoria s'acquitte de sa tâche avec application, mais confond trop souvent rythme et trépidation. Face à un terne Danny Dyer (SEVERANCE), Sean Bean (la trilogie LORD OF THE RINGS) s'impose sans mal, même si son jeu s'avère peu nuancé.

Texte : Olivier Lefébure

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