(...) l'intrigue du film (...), avec sa suite de séquences brouillonnes dépourvue de montée dramatique, s'avère assez insignifiante. C'est laborieux, c'est bavard, et ce n'est pas drôle. (...) Si les jeunes interprètes parvenaient à sauver la mise... Hélas! Dans le rôle-titre, (...) Jordana Beatty irrite et manque de naturel, à l'instar de ses partenaires.

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Transposition à l’écran de l’univers créé par Megan McDonald (...), le long métrage de John Schultz (...) reprend certains éléments des romans et suit Judy Moody (qui n’est plus vraiment moody) dans une aventure inédite… et bien mince. Il aurait fallu un peu de viande autour de cet os (...), tant l’ensemble frôle souvent l’hystérie bébête.

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Mostly the film evolves in a series of slapsticky episodes that feature chases, a tightrope walk, hunts for Big Foot, horror costumes and far too much junk food. There are also gags involving vomit and poo. (...) Occasionally digital cartoons or on-screen graphics briefly take over the narrative.

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Daddies, you’ll enjoy Heather Graham bouncing around, and all parents will have a good chuckle watch­ing Jaleel White (...) embarrass himself playing a perky principal (...). Other than that, the humour and plot are obviously directed at small kids only.

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Existe-t-il quelque chose de plus insupportable qu'un jeune acteur ne sachant pas jouer? (...) De fait, dans JUDY MOODY (...), il y en a à la pelle, à commencer par la jeune (...) Jordana Beatty, aussi énergique qu'exécrable. (...) heureusement qu'on peut compter sur la présence de Graham pour apporter un peu de joie de vivre à cet ensemble tapageur aux couleurs criardes.

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