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Johnny English renaît (Johnny English Reborn)

G.-B. 2011. Comédie d'espionnage de Oliver Parker avec Rowan Atkinson, Daniel Kaluuya, Rosamund Pike. Un agent secret britannique est chargé de déjouer un complot assassin contre le premier ministre de la Chine, ourdi par des agents de la CIA, du KGB et du MI7. Suite sans surprise et plutôt incohérente. Réalisation fonctionnelle mais rythmée. R. Atkinson en petite forme, malgré quelques bons gags physiques. (sortie en salle: 21 octobre 2011)

Général
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Johnny English renaît (Johnny English Reborn)

Général Général

G.-B. 2011. Comédie d'espionnage de Oliver Parker avec Rowan Atkinson, Daniel Kaluuya, Rosamund Pike.

Un agent secret britannique est chargé de déjouer un complot assassin contre le premier ministre de la Chine, ourdi par des agents de la CIA, du KGB et du MI7. Suite sans surprise et plutôt incohérente. Réalisation fonctionnelle mais rythmée. R. Atkinson en petite forme, malgré quelques bons gags physiques. (sortie en salle: 21 octobre 2011)

Rappelé du Tibet où il s'était retiré depuis une mission ratée au Mozambique, Johnny English, agent du MI7, est chargé de déjouer un complot visant à assassiner le premier ministre de la Chine, qui fera une visite officielle à Londres dans quelques jours. Flanqué de Tucker, une recrue zélée, English arrive à Hong Kong où un agent de la CIA, impliqué dans le complot, lui a donné rendez-vous. Repenti, ce dernier a tout juste le temps d'avouer à son homologue britannique qu'il a deux autres complices, avant d'être abattu par une tueuse sexagénaire déguisée en femme de ménage. Poursuivant leur enquête, non sans quelques bévues, English et Tucker dénichent le deuxième conspirateur, un espion du KGB qui, après avoir été descendu à son tour par la tueuse asiatique, leur révèle in extremis que le cerveau du complot fait partie de leurs propres services.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rowan Atkinson revient en petite forme dans cette suite des aventures du maladroit espion parodié de James Bond. À l'exception de quelques bons passages d'humour physique, le film fait à peine sourire, ne surprend jamais et ses incohérences viennent vite à bout de l'indulgence du spectateur. Comment croire au récit quand le protagoniste agit tantôt en parfait imbécile, tantôt en faisant montre d'une clairvoyance et d'une adresse insurpassables? Et c'est uniquement grâce au charme de Rosamund Pike, en psychologue des services secrets éprise du pataud English, que leur idylle s'avère un tant soit peu attachante. Quant au gag itératif des vieilles dames prises à tort pour la tueuse à l'aspirateur par l'ineffable espion, il relève d'un comique ringard digne de "Symphorien". Fonctionnelle, la réalisation d'Oliver Parker (THE IMPORTANCE OF BEING EARNEST) possède néanmoins l'énergie et le rythme requis.

Texte : Louis-Paul Rioux

Revue de presse

Davantage de gadgets et d'action mais...

Il y a bien quelques bévues irrésistibles (...), mais globalement, l'absurde et la loufoquerie (...) des débuts ont perdu de leur originalité. Même lorsque, à la fin, l'espion supermaladroit (...) s'acharne à cogner la reine d'Angleterre (...) en croyant s'en prendre à une ennemie travestie...

Johnny English renaît Oliver Parker

A Redundant Spy Farce Sequel

Director Oliver Parker's (...) pacing is off and the screenplay (...) fails to provide a lively enough framework for this gifted and intelligent actor’s unique physical comedy. (...) Atkinson still gamely runs through his repertoire of po-faced pratfalls and amusing eyebrow gymnastics.

Johnny English renaît Oliver Parker

Johnny English, le retour

Dans cette parodie de James Bond, Rowan Atkinson fait du Mister Bean et aligne les gags visuels, faciles mais efficaces (...). Les codes du film d’espionnage sont malicieusement détournés. On aurait aimé qu’il y ait aussi un bon scénario.

Johnny English renaît Oliver Parker

Mr Bean revient en "Mr Bond"

Bien que cette comédie à l’humour très british peine à être tout à fait convaincante, on sourit aux facéties de Rowan Atkinson. «C’est clairement une parodie de James Bond. (...)», dit le comédien. «Mais mon personnage est cependant réaliste et donc plus crédible.»

Johnny English renaît Oliver Parker

The Spy Who Bored Me

Atkinson is meant to be assisted by (...) Agent Tucker (...), but that character is (...) poorly developed. (...) West [and] (...) Schiff (...) are more memorable (...), but REBORN is ultimately a vehicle for Atkin­son to make silly faces, escape from unlikely assassins and drive fast cars.

Johnny English renaît Oliver Parker

Rowan Atkinson fait toujours rire

La trouvaille la plus heureuse du film est (...) [la] parodie de course poursuite (...). La scène est hilarante. (...) Si la recette fonctionne ici, c'est moins grâce aux gags (...) qu'au génie comique d'Atkinson (...) (MISTER BEAN) qui, contrairement à l'acteur, n'a pas pris une ride.

Johnny English renaît Oliver Parker

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