Jesus Henry Christ
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Jesus Henry Christ

G
2011
Un génie de dix ans élevé par une féministe célibataire remonte la piste de son père biologique.
Intrigue laborieuse et datée opposant héritage familial et génétique. Quelques belles idées fantaisistes. Traitement "néo-trash" emprunté. Solide J. Spevack.

L'avis de Mediafilm

Le scénario de cette comédie noire collectionne les idées fantaisistes: bébé parlant, tornade de papillons-adhésifs, etc. Mais Dennis Lee (FIREFLIES IN THE GARDEN, inédit en salles) peine à les arrimer à son intrigue, trop laborieuse, opposant héritage familial et génétique à travers un quintette de personnages hauts en couleur mais manquant de densité psychologique. Aussi, la supra-intelligence du jeune héros, très bien campé par Jason Spevack, n'est pas vraiment porteuse de sens, sinon pour permettre quelques extravagances et revirements commodes du scénario. Du reste, le style "néo-trash" inspiré des films de Quentin Tarantino et Guy Ritchie - couleurs saturées, angles inattendus, montage à la hache - paraît plaqué. Il manque au cinéaste ce grain de folie capable d'énergiser le film et faire disparaître toutes les marques d'effort. Bien que d'une unité évidente, JESUS HENRY CHRIST est une oeuvre inaboutie dans son propos et datée dans sa forme.

Martin Bilodeau

Synopsis

(sortie en salle le 1 juin 2012)

Année

2011

Genre

Comédie

Durée

95 min.

Origine

États-Unis

Images

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