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Destination ultime 5 (Final Destination 5)

É.-U. 2011. Drame d'horreur de Steven Quale avec Nicholas D'Agosto, Emma Bell, Miles Fisher. Après avoir échappé de justesse à l'effondrement du pont suspendu qu'ils traversaient en autocar, des jeunes gens trouvent l'un après l'autre la mort dans des circonstances violentes. Film de série à la formule usée. Réalisation quelconque axée sur des mises à mort laborieuses. Ensemble pauvre. Interprétation faible. (sortie en salle: 12 août 2011)

13 ans + (violence, horreur)
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Destination ultime 5 (Final Destination 5)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2011. Drame d'horreur de Steven Quale avec Nicholas D'Agosto, Emma Bell, Miles Fisher.

Après avoir échappé de justesse à l'effondrement du pont suspendu qu'ils traversaient en autocar, des jeunes gens trouvent l'un après l'autre la mort dans des circonstances violentes. Film de série à la formule usée. Réalisation quelconque axée sur des mises à mort laborieuses. Ensemble pauvre. Interprétation faible. (sortie en salle: 12 août 2011)

Genre :
Année :
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Montage :
Sam, Molly, Peter, Candice, Isaac, Olivia, Nathan et leur supérieur Dennis se préparent à passer la fin de semaine dans une retraite privée offerte par leur employeur. Sur la route, Sam rêve que le pont suspendu sur lequel leur autobus se trouve va s'effondrer. Se réveillant en panique, il convainc ses amis de descendre du véhicule et de fuir. Le pont s'effondre effectivement quelques secondes plus tard, tuant plusieurs collègues restés derrière. Dans les jours qui suivent, certains des passagers sauvés par le rêve prémonitoire de Sam conaissent un sort funeste: Candice, Isaac, puis Olivia. À ce stade, Sam prend conscience que les décès surviennent dans le même ordre que dans sa vision. Éploré par la disparition de Candice et convaincu que s'il tue quelqu'un, la Mort le laissera tranquille, Peter sombre dans la folie. Sam, de son côté, tente de renouer avec Molly et de la protéger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film de série recourt à la même formule que dans les quatre volets antérieurs. Laquelle formule est maintenant usée à la corde, problème que le scénario sans surprise d'Eric Heisserer (le remake de A NIGHTMARE ON ELM STREET) ne fait rien pour corriger. Plus que jamais, la réalisation très quelconque se concentre sur les mises à mort laborieuses, inutilement étirées et surtout, jamais crédibles. Ce dernier qualificatif s'applique d'ailleurs à l'interprétation. À leur décharge, les comédiens doivent composer avec des personnages particulièrement insipides et peu gâtés au rayon des dialogues. Les effets 3D ne rehaussent guère le niveau d'intérêt d'une production au final assez pauvre.

Texte : François Lévesque

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