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Condamnés (Down the Road)

É.-U. 2011. Drame d'horreur de Jason Christopher avec Jen Dance, David J. Bonner, Chelsey Garner. Partis faire du camping en forêt, sept jeunes adultes sont attaqués par un tueur en série qui les massacre sauvagement l'un après l'autre. Intrigue archiconnue, farcie de clichés. Dialogue pauvre et souvent vulgaire. Réalisation et effets spéciaux médiocres. Interprétation frisant l'amateurisme.

13 ans + (violence, horreur)
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Condamnés (Down the Road)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 2011. Drame d'horreur de Jason Christopher avec Jen Dance, David J. Bonner, Chelsey Garner.

Partis faire du camping en forêt, sept jeunes adultes sont attaqués par un tueur en série qui les massacre sauvagement l'un après l'autre. Intrigue archiconnue, farcie de clichés. Dialogue pauvre et souvent vulgaire. Réalisation et effets spéciaux médiocres. Interprétation frisant l'amateurisme.

Après un séjour de quelques semaines à l'hôpital, Jenn est de retour chez ses parents. Son amie Michele la convainc de partir avec elle et cinq autres copains de leur âge pour un week-end de camping. Au programme: stupre et fornication. Les jeunes plantent leurs tentes dans la forêt de Braiden où, selon une légende urbaine, rôderait un dangereux tueur en série. Hélas pour les sept fêtards, la rumeur se révèle vraie. En effet, Hunter Isth, un père de famille devenu fou après la mort accidentelle de sa fille tuée par un jeune chauffard ivre, hante les environs et massacre tous ceux qui ont le malheur de passer par là. Méthodiquement, le psychopathe va les attaquer et les achever l'un après l'autre en leur faisant subir d'atroces souffrances.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Grand amateur des "slashers" des années 1970-80, le nouveau venu Jason Christopher a conçu son film comme un hommage à ce sous-genre. Pour ce faire, il a battu en rappel tous les clichés et les archétypes possibles. Si bien que cette production indépendante dotée d'un micro-budget n'apporte aucun sang neuf au genre et, en l'absence de tout second degré, l'hommage respectueux vire à la copie indigne. L'intrigue sans surprise comporte en outre son lot d'incohérences. À la réalisation, Christopher se contente de secouer sa caméra pour créer l'illusion du danger. La photographie laide, les effets spéciaux médiocres, les dialogues pauvres et souvent vulgaires, alourdissent le bilan. Les compositions des interprètes, qui gesticulent en vain, frisent l'amateurisme.

Texte : Olivier Lefébure

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