Can. 2011. Drame de moeurs de Michel Jetté avec Emmanuel Auger, Dara Lowe, Pat Lemaire. À Montréal, quatre anciens soldats devenus portiers défendent le bar de danseuses d'un frère d'armes contre les assauts d'un violent gang de rue qui cherche à en prendre le contrôle. Scénario un peu maladroit mais assez bien charpenté, inspiré de faits réels. Dialogues manquant de naturel. Réalisation musclée et nerveuse. Interprétation inégale. (sortie en salle: 1 avril 2011)
16 ans + (violence, érotisme) Can. 2011. Drame de moeurs de Michel Jetté avec Emmanuel Auger, Dara Lowe, Pat Lemaire.
À Montréal, quatre anciens soldats devenus portiers défendent le bar de danseuses d'un frère d'armes contre les assauts d'un violent gang de rue qui cherche à en prendre le contrôle. Scénario un peu maladroit mais assez bien charpenté, inspiré de faits réels. Dialogues manquant de naturel. Réalisation musclée et nerveuse. Interprétation inégale. (sortie en salle: 1 avril 2011)
Marc-André Lussier - La Presse
Inspiré d’événements survenus à Montréal au cours des dix dernières années, BUMRUSH est de ces fictions qui tentent de faire oeuvre utile en exposant une problématique de façon crédible. Force est de constater que Jetté y a mis tous les efforts. Dommage que son film ne soit pas à la hauteur sur le plan dramatique.
Odile Tremblay - Le Devoir
(...) BUMRUSH est porté par une énergie propre à l'univers de Jetté, mais est moins débroussaillé que d'habitude. Il y a quelque chose de brut et de mal léché, avec force gros plans, d'où émergent des scènes-chocs, (...) d'une violence appuyée, parfois gratuite. (...) Le punch y est. Il manque la finition, la subtilité, l'évocation plutôt que la démonstration brutale (...). Dommage!
Véronique Harvey - Ici Week-End / 24 heures
(...) il ne faut pas prendre cet exercice comme un simple divertissement, car Jetté s'est plutôt donné comme mission d'étaler au grand jour cette problématique sociale, tout en exposant la réalité des portiers. (...) on ne peut pas passer sous silence la performance de feu Bad News Brown (...) qui campe ici le rôle de Loosecanon, tout en bonifiant le film de ses mélodies rythmées.
Roxane Hudon - Mirror
Two hours in length, with opening and closing monologues about power, manipulation and so on, it’s a bit of a difficult film to take seriously. The street gangsters’ dialogue consists mainly of repeating “It is what is is” and the mafiosos are simply hilarious (...). But it makes for an entertaining Quebec gangster film that you will probably end up quoting.
Maxime Demers - Rue Frontenac
C'est sur le plan de l'histoire et du scénario que le bât blesse. Construit à la façon d'un western, (...) BUMRUSH prend trop de temps à installer l'action et les (nombreux) personnages. (...) malgré ses lacunes et ses maladresses, (BUMRUSH) frappe fort en nous plongeant au coeur d'un problème de société rarement abordé au grand écran chez nous.
Guillaume Fournier - Voir
Même si le portrait qu'il offre du milieu criminel local est plutôt intéressant, il est évident que (...) Michel Jetté n'a pas su démêler l'essentiel du superficiel parmi les informations qu'il a dégotées pendant son travail de recherche (...). L'inconstance de la réalisation et de la technique (...) confirme que BUMRUSH est une oeuvre mineure, mineure à l'intérieur même de la filmographie de Jetté.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
Par : Pierre-Louis Prégent, Gatineau
Dialogues maladroits et dépourvus de crédibilité. Montage anémique, servant au mieux de ses capacités un scénario épisodique. Jeu assez convaincant de non professionnels et plutôt pauvre des comédiens. Réalisation anonyme.
J'attribue à ce film la Cote