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Big Mommas - Tel père, tel fils (Big Mommas - Like Father, Like Son)

É.-U. 2011. Comédie policière de John Whitesell avec Martin Lawrence, Brandon T. Jackson, Jessica Lucas. Son fils ayant été témoin d'un meurtre, un agent du FBI se cache avec lui dans une école pour jeunes filles en prenant l'identité d'une grand-mère corpulente et de sa nièce. Insignifiant troisième épisode d'une série à bout de souffle. Humour grossier. Réalisation terne. Interprétation appuyée. (sortie en salle: 18 février 2011)

Général
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Big Mommas - Tel père, tel fils (Big Mommas - Like Father, Like Son)

Général Général

É.-U. 2011. Comédie policière de John Whitesell avec Martin Lawrence, Brandon T. Jackson, Jessica Lucas.

Son fils ayant été témoin d'un meurtre, un agent du FBI se cache avec lui dans une école pour jeunes filles en prenant l'identité d'une grand-mère corpulente et de sa nièce. Insignifiant troisième épisode d'une série à bout de souffle. Humour grossier. Réalisation terne. Interprétation appuyée. (sortie en salle: 18 février 2011)

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L'agent du FBI Malcom Turner cultive de grandes ambitions pour son fils Trent. Or, le garçon de dix-sept ans ne rêve que d'une chose: renoncer à ses études pour entreprendre une carrière de rapper. Afin de forcer son père à signer le contrat qu'une maison de disque lui offre, Trent décide de le suivre durant une filature. En pleine fusillade, il est témoin d'un meurtre commis par des membres de la mafia russe. Les assassins ayant réussi à l'identifier, Malcolm n'a d'autre choix que de le cacher. Père et fils infiltrent alors une école des arts de la scène pour jeunes filles, sous l'identité d'une grand-mère corpulente et de sa nièce dégourdie. Malcom tente d'y poursuivre son enquête, malgré que Trent, tombé sous le charme d'une compagne de classe, risque constamment de compromettre leur couverture.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'idée de départ de cette série centrée sur un agent du FBI qui opère sous l'identité d'une vieille dame bien en chair n'avait rien de franchement originale. D'entrée de jeu, la comparaison désavantageuse avec les SOME LIKE IT HOT et autres TOOTSIE a sérieusement grevé son potentiel. L'histoire se répète avec ce troisième épisode signé John Whitesell, déjà à la barre du deuxième, et qui pousse ce concept à bout de souffle à son sommet de vulgarité. Une fois encore, l'humour de bas étage échoue à énergiser des péripéties jamais haletantes. Dans ce contexte de médiocrité, dont la mise en scène sans éclat fait figure d'élément fort, Martin Lawrence cabotine avec vigueur, imité par son jeune comparse, Brandon T. Jackson.

Texte : André Lavoie

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