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Terreur en Floride (Mega Python vs. Gatoroid)

É.-U. 2010. Drame d'horreur de Mary Lambert avec Debbie Gibson, Tiffany, A Martinez. Dans une réserve naturelle en Floride, des pythons et des alligators, devenus géants après avoir mangé des poulets contenant des anabolisants, sèment le chaos. Série B kitsch à l'intrigue bâclée et incohérente. Traitement volontairement second degré. Humour peu efficace. Réalisation approximative. Trucages très grossiers. Interprètes jouant dans la note.

13 ans + (horreur)
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Terreur en Floride (Mega Python vs. Gatoroid)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2010. Drame d'horreur de Mary Lambert avec Debbie Gibson, Tiffany, A Martinez.

Dans une réserve naturelle en Floride, des pythons et des alligators, devenus géants après avoir mangé des poulets contenant des anabolisants, sèment le chaos. Série B kitsch à l'intrigue bâclée et incohérente. Traitement volontairement second degré. Humour peu efficace. Réalisation approximative. Trucages très grossiers. Interprètes jouant dans la note.

Genre :
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Durée :
Réalisation :
Scénario :
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Musique :
Responsable d'une réserve naturelle en Floride, la ranger Terry O'Hara découvre que la diminution du nombre des alligators sur son secteur est due à la présence d'énormes pythons, qui ont aussi tué plusieurs personnes. Pour régler le problème, elle donne aux sauriens des poulets contenant de puissants anabolisants. Ainsi pense-t-elle rétablir la chaîne alimentaire... Hélas, les alligators et les serpents grossissent de façon exponentielle. Quittant les bayous où ils ont semé le chaos et la mort, les monstres menacent maintenant de détruire la ville de Miami.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réalisée par Mary Lambert (PET SEMATARY), cette production indépendante se veut un hommage aux séries B kitsch des années 1950-60 mettant en vedette diverses sortes de monstres qui saccagent tout sur leur passage. Hélas, le résultat est assez pathétique. Bâclé, le scénario multiplie les clichés, mais surtout les incohérences qui rendent l'intrigue totalement ridicule. Entre deux scènes gore, la réalisatrice tente d'insérer un peu d'humour, mais ses efforts restent vains. La réalisation est plus qu'appproximative et les trucages s'avèrent si grossiers qu'ils tuent dans l'oeuf la peur qu'ils sont censés engendrer. Les interprètes jouent néanmoins dans la note.

Texte : Olivier Lefébure

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