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Six (Die)

Can. 2010. Thriller de Dominic James avec Elias Koteas, Caterina Murino, Emily Hampshire. Six individus sont kidnappés par un homme mystérieux qui fait d'eux les cobayes d'un jeu de hasard meurtrier. Intrigue échevelée. Surenchère confuse de motifs et d'effets. Réalisation compétente mais sans originalité. Interprétation convenable. (sortie en salle: 22 juillet 2011)

13 ans + (violence)
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Six (Die)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

Can. 2010. Thriller de Dominic James avec Elias Koteas, Caterina Murino, Emily Hampshire.

Six individus sont kidnappés par un homme mystérieux qui fait d'eux les cobayes d'un jeu de hasard meurtrier. Intrigue échevelée. Surenchère confuse de motifs et d'effets. Réalisation compétente mais sans originalité. Interprétation convenable. (sortie en salle: 22 juillet 2011)

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Six individus tourmentés, suicidaires ou toxicomanes se réveillent prisonniers de cages de verre individuelles. Ils ont été kidnappés par Jacob, un mystérieux personnage au passé tragique. Celui-ci, qui les a élus en raison de leur comportement autodestructeur, les soumet à une expérience où chacun doit jouer au dé le sort d'un autre prisonnier. Selon le chiffre obtenu, le jeu peut entraîner la mort par supplice. Pendant ce temps, la policière Sofia s'inquiète de la disparition de son collègue Mark, un des cobayes de Jacob, rongé de remords à la suite d'une bavure aux conséquences dramatiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Complots de toutes sortes, manifestations sectaires, supplices divers et autres clichés du thriller et du film de torture à la SAW se mélangent ici dans une surenchère confuse qui tente artificiellement de conférer à un récit échevelé un sentiment de nervosité, d'intensité et d'urgence. Dominic James, qui signe ici son premier long métrage (malgré le fait que son second, ANGLE MORT, soit sorti en premier au Québec) affiche en revanche une évidente compétence, surtout sur le plan visuel, comme en font foi les très efficaces scènes de supplice. Forcés de défendre des personnages pour la plupart typés et excessifs, les acteurs se défendent de façon convenable, sans plus.

Texte : André Lavoie

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