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Resident Evil - L'Au-delà (Resident Evil - Afterlife)

All. 2010. Drame d'horreur de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich, Ali Larter, Shawn Roberts. Après avoir perdu ses pouvoirs surhumains, une jeune femme rejoint à Los Angeles les quelques personnes qui ont survécu à un virus ayant transformé l'humanité en morts-vivants. Insipide film de série inspiré d'un jeu vidéo. Savoir-faire technique au service d'un scénario invraisemblable et incohérent. Interprètes impuissants. (sortie en salle: 10 septembre 2010)

13 ans + (violence, horreur)
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Resident Evil - L'Au-delà (Resident Evil - Afterlife)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

All. 2010. Drame d'horreur de Paul W.S. Anderson avec Milla Jovovich, Ali Larter, Shawn Roberts.

Après avoir perdu ses pouvoirs surhumains, une jeune femme rejoint à Los Angeles les quelques personnes qui ont survécu à un virus ayant transformé l'humanité en morts-vivants. Insipide film de série inspiré d'un jeu vidéo. Savoir-faire technique au service d'un scénario invraisemblable et incohérent. Interprètes impuissants. (sortie en salle: 10 septembre 2010)

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Dotées de pouvoirs surhumains, Alice et une armée de ses clones détruisent le quartier général de la multinationale Umbrella à Tokyo, responsable du virus qui a transformé l'humanité en morts-vivants. Alice survit seule au massacre, mais le directeur du projet la neutralise en éliminant ses pouvoirs, avant de disparaître. Redevenue humaine, la jeune femme pilote un avion vers un mythique sanctuaire en Alaska où ne subsiste que Claire Redfield, une rescapée de Las Vegas devenue amnésique. Toutes deux s'envolent vers Los Angeles où elles découvrent une poignée de survivants sur le toit d'un édifice encerclé par des milliers de zombies. Un sanctuaire les attend, sous la forme d'un cargo géant nommé Arcadia, qu'ils doivent atteindre à tout prix.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Reprenant les commandes de ce quatrième épisode d'une série dont il avait réalisé le premier, Paul W.S. Anderson navigue à l'aveugle à travers les abondants clichés d'un scénario à numéros qui enfile les situations convenues propres au genre dans un fouillis invraisemblable et incohérent. Le réalisateur ne se gêne pas non plus pour plagier le remake de DAWN OF THE DEAD et employer des techniques visuelles issues de THE MATRIX. Malgré un évident savoir-faire technique, l'ensemble devient rapidement lassant, répétitif et monotone, sans intérêt et sans humanité, les interprètes ne pouvant rien tirer de personnages aussi factices. Même les nombreux effets-chocs ne surprennent guère, ce qui, pour ce type de films, signe son arrêt de mort.

Texte : André Caron

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