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Prince of Persia: Les Sables du temps (Prince of Persia: The Sands of Time)

É.-U. 2010. Aventures de Mike Newell avec Jake Gyllenhaal, Gemma Arterton, Ben Kingsley. Faussement accusé de l'assassinat du roi de Perse, son père adoptif, un jeune prince tente de laver son honneur et de protéger un poignard aux propriétés magiques. Intrigue farcie de clichés inspirée d'un jeu vidéo. Quelques touches d'humour. Réalisation compétente. Interprétation dans le ton. (sortie en salle: 28 mai 2010)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Prince of Persia: Les Sables du temps (Prince of Persia: The Sands of Time)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2010. Aventures de Mike Newell avec Jake Gyllenhaal, Gemma Arterton, Ben Kingsley.

Faussement accusé de l'assassinat du roi de Perse, son père adoptif, un jeune prince tente de laver son honneur et de protéger un poignard aux propriétés magiques. Intrigue farcie de clichés inspirée d'un jeu vidéo. Quelques touches d'humour. Réalisation compétente. Interprétation dans le ton. (sortie en salle: 28 mai 2010)

À l'époque médiévale en Perse, Dastan, un enfant de la rue capable de grandes prouesses physiques, est adopté par le roi qui lui voue la même affection qu'à ses autres fils. Quelques années plus tard, le roi conquiert la cité d'Alamut, détenant des preuves qu'elle se préparait à l'attaquer. Lors du siège, Dastan fait la découverte d'un curieux poignard, propriété de Tamina, la princesse d'Alamut. Après la mort foudroyante du roi, on accuse Dastan de l'avoir assassiné. Ne pouvant prouver son innocence, il prend la fuite avec Tamina. La jeune femme tente alors de récupérer le poignard, une arme aux pouvoirs magiques qui pourraient s'avérer destructeurs en de mauvaises mains. Avec l'aide d'une bande de brigands, Dastan tente de démasquer les coupables et de laver son honneur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'Anglais Mike Newell, surtout reconnu pour ses charmantes comédies (FOUR WEDDINGS AND A FUNERAL, PUSHING TIN), renoue avec la fantaisie façon Harry Potter (dont il a signé le quatrième épisode) avec cette superproduction clinquante inspirée d'un jeu vidéo. Au programme: une succession quasi mécanique d'épisodes pétaradants, aux limites du saugrenu, agrémentés de symboles un peu lourds autour d'une arme pouvant faire reculer le temps. Si Newell impose davantage sa compétence que sa personnalité, l'empreinte du producteur Jerry Bruckheimer (ARMAGEDDON, PIRATES OF THE CARIBBEAN), à l'inverse, se fait partout sentir. Mais jamais autant que dans son obsession d'illustrer une possible fin du monde et les moyens déployés pour l'éviter. Dans ce contexte où la subtilité a rarement sa place, les interprètes affichent plus de savoir-faire que de réelle conviction.

Texte : André Lavoie

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