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Mords-moi sans hésitation (Vampires Suck)

É.-U. 2010. Comédie satirique de Jason Friedberg, Aaron Seltzer avec Jenn Proske, Matt Lanter, Chris Riggi. Partie vivre quelque temps chez son père dans une petite ville du nord des États-Unis, une adolescente réservée s'éprend d'un jeune homme ténébreux qui s'avère être un vampire. Parodie facile et insignifiante des films de la saga "Twilight". Humour desséché sombrant dans la violence gratuite et la vulgarité primaire. Technique au point. Interprétation sans relief. (sortie en salle: 18 août 2010)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Mords-moi sans hésitation (Vampires Suck)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 2010. Comédie satirique de Jason Friedberg, Aaron Seltzer avec Jenn Proske, Matt Lanter, Chris Riggi.

Partie vivre quelque temps chez son père dans une petite ville du nord des États-Unis, une adolescente réservée s'éprend d'un jeune homme ténébreux qui s'avère être un vampire. Parodie facile et insignifiante des films de la saga "Twilight". Humour desséché sombrant dans la violence gratuite et la vulgarité primaire. Technique au point. Interprétation sans relief. (sortie en salle: 18 août 2010)

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20th Century Fox
Partie vivre quelque temps chez son père policier dans le patelin de Sporks, Becca Crane, une adolescente réservée, s'éprend du ténébreux Edward Sullen, un confrère de classe qui s'avère être un vampire. Quand trois autres buveurs de sang renégats décident de s'en prendre à la jeune fille, Edward devient son protecteur. Un rôle que lui dispute l'Amérindien Jacob White qui, de son côté, fait partie d'une confrérie secrète de loups-garous.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les "créateurs" des parodies à rabais MEET THE SPARTANS et DISASTER MOVIE récidivent avec cette satire facile et insignifiante de la série "Twilight". Le scénario est en effet un paresseux décalque des récits des deux premiers épisodes, auquel les auteurs ont ajouté leurs habituels éléments de violence gratuite et de vulgarité primaire, ainsi que des références culturelles au premier degré (à Lady Gaga, Tiger Woods, la série "True Blood", etc.) qui tombent toutes à plat. Quant aux interprètes, la plupart inconnus, ils se contentent de singer les tics des vedettes des films originaux. À tout le moins, l'ensemble est techniquement au point.

Texte : Louis-Paul Rioux

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