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L'Illusionniste

Fr. 2010. Film d'animation de Sylvain Chomet . Durant un séjour en Écosse à la fin des années 1950, un illusionniste français vieillissant se fait le protecteur d'une jeune employée d'auberge. Scénario inédit de Jacques Tati inspiré nommément de ses années de music-hall. Ton plus mélancolique que comique. Dessins fluides et clairs, aux forts accents poétiques. Procédé d'animation traditionnelle cadrant parfaitement avec le sujet. (sortie en salle: 4 février 2011)

Général
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L'Illusionniste (L'Illusionniste)

Général Général

Fr. 2010. Film d'animation de Sylvain Chomet .

Durant un séjour en Écosse à la fin des années 1950, un illusionniste français vieillissant se fait le protecteur d'une jeune employée d'auberge. Scénario inédit de Jacques Tati inspiré nommément de ses années de music-hall. Ton plus mélancolique que comique. Dessins fluides et clairs, aux forts accents poétiques. Procédé d'animation traditionnelle cadrant parfaitement avec le sujet. (sortie en salle: 4 février 2011)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Sylvain Chomet
D'après l'oeuvre de Jacques Tati
Musique :
Montage :
Distributeur :
Métropole Films Distribution
Récompenses
Fin des années 1950. Tatischeff, un vieux prestidigitateur français qui n'a plus la cote auprès de ses compatriotes, décide d'exporter son art et sa petite ménagerie à Londres. Sans plus de succès. À l'invitation d'un de ses fidèles admirateurs, il pousse jusqu'en Écosse, où il s'installe dans l'auberge adjacente au pub où il se produit. Il fait la rencontre d'Alice, jeune employée de l'auberge qui va apporter un peu de magie dans sa vie. Se posant en protecteur de celle-ci, l'artiste de music-hall devra, pour assumer son nouveau rôle, dénicher des petits boulots complémentaires. L'illusionniste n'est cependant pas au bout de ses désillusions.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Déjà, dans LES TRIPLETTES DE BELLEVILLE, Sylvain Chomet citait directement JOUR DE FÊTE de Jacques Tati. Cette fois, l'animateur puise à la source même, en adaptant un scénario inédit de l'auteur de MON ONCLE, inspiré de ses années de music-hall, et en donnant au héros les traits, la gestuelle (et le nom véritable) du défunt cinéaste. Par son sujet, cette histoire résolument mélancolique, en vérité plus chaplinesque que tatiesque, ne pouvait être réalisée qu'en animation traditionnelle, procédé aujourd'hui délaissé au profit de la 3D. Sur le plan visuel, le résultat est splendide. Les dessins aux lignes fluides et claires, dont les couleurs évoquent parfaitement le climat de l'époque, font naître la poésie et surgir l'émotion à chaque tournant du récit.

Texte : Jean Beaulieu

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