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Horizon (Skyline)

É.-U. 2010. Science-fiction de Colin Strause, Greg Strause avec Eric Balfour, Scottie Thompson, Brittany Daniel. À Los Angeles, un groupe de jeunes adultes tente de résister à une lumière extraterrestre aspirant tous les individus qui y sont exposés. Succédané sans originalité. Dialogues ringards. Effets spéciaux inégaux. Réalisation laborieuse. Interprètes peu convaincants. (sortie en salle: 12 novembre 2010)

13 ans + (horreur)
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Horizon (Skyline)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 2010. Science-fiction de Colin Strause, Greg Strause avec Eric Balfour, Scottie Thompson, Brittany Daniel.

À Los Angeles, un groupe de jeunes adultes tente de résister à une lumière extraterrestre aspirant tous les individus qui y sont exposés. Succédané sans originalité. Dialogues ringards. Effets spéciaux inégaux. Réalisation laborieuse. Interprètes peu convaincants. (sortie en salle: 12 novembre 2010)

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Au lendemain d'une fête d'anniversaire bien arrosée où querelles et déclarations d'amour ont fusé, Elaine et son petit ami Jarrod sont témoins, comme tous les résidents de Los Angeles, d'étranges lueurs bleues dans le ciel. Quiconque les regarde est hypnotisé puis aspiré vers d'immenses vaisseaux extraterrestres. Jarrod allait subir ce sort lorsqu'il a été sauvé par son meilleur ami Terry, chez qui avait lieu la fête. Ce dernier n'aura pas la même chance: dans sa fuite vers la marina, il est tué, en même temps qu'une de ses employées. Pour avoir stoppé un extraterrestre, Oliver, le concierge de l'immeuble de Terry, s'impose comme meneur des survivants. Or, Jarrod et lui ne voient pas les choses du même oeil. Pendant ce temps, l'armée tente vainement d'arrêter les envahisseurs qui moissonnent les cerveaux humains.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après ALIEN VS PREDATOR: REQUIEM, les frères Greg et Colin Strause, spécialistes des effets spéciaux, se compromettent à nouveau avec cette production ringarde empruntant à la télésérie «V», à INDEPENDENCE DAY, à TRANSFORMERS et à tant d'autres. L'intrigue paresseusement rapiécée fait entendre des dialogues d'une sottise affolante et les effets spéciaux, parfois réussis, souvent très inégaux, n'impressionnent jamais. La réalisation recourt sans effort d'imagination à des techniques tape-à-l'oeil et peine à imposer un rythme. De même, les interprètes sont beaucoup plus convaincus qu'ils ne convainquent.

Texte : François Lévesque

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