Fr. 2010. Drame de moeurs de Christophe Honoré avec François Sagat, Omar Ben Sellem, Chiara Mastroianni. Pendant que son ex-petit ami tourne un documentaire à New York, un jeune homme multiplie les aventures sans lendemain dans l'appartement de ce dernier, en banlieue de Paris. Chronique amoureuse jouant intelligemment des contrastes. Scénario minimaliste aux enjeux subliminaux. Procédés techniques expressifs. Interprètes naturels. (sortie en salle: 27 mai 2011)
En attente de classement Fr. 2010. Drame de moeurs de Christophe Honoré avec François Sagat, Omar Ben Sellem, Chiara Mastroianni.
Pendant que son ex-petit ami tourne un documentaire à New York, un jeune homme multiplie les aventures sans lendemain dans l'appartement de ce dernier, en banlieue de Paris. Chronique amoureuse jouant intelligemment des contrastes. Scénario minimaliste aux enjeux subliminaux. Procédés techniques expressifs. Interprètes naturels. (sortie en salle: 27 mai 2011)
Jay Weissberg - Variety
Had Honore stayed in Gennevilliers and not included the New York scenes, especially those with a superfluous Mastroianni, he might have come up with a meaningful work on longing, both sexual and companionate, but the unfocused (in more ways than one) DV scenes feel artificially tacked on and don't drive either mood or narrative in any cohesive direction.
François-Guillaume Lorrain - Le Point
À Gennevilliers, Emmanuel (...) s'ennuie en pensant à son amant, Omar (...). Pendant ce temps, Omar (...) drague des garçons pour oublier Emmanuel. Passionnant, non ? Christophe Honoré (...) est un cinéaste très aimé, surtout à Paris intra-muros. Pas sûr qu'il le reste longtemps s'il s'amuse encore à faire ce genre de films pour le moins indigents.
Éric Libiot - L'Express
Au départ, il y a une commande: tourner un court-métrage sur la banlieue. (...) Pour faire de cet HOMME AU BAIN un long-métrage, Honoré y insère des images filmées, hors de propos, à New York (...). Et ce qui débute dans le naturalisme se poursuit dans le factice et se termine dans l'ennui. HOMME AU BAIN ne fait rien d'autre que mettre en avant cet artifice formel.
Isabelle Régnier - Le Monde
Comme souvent, Christophe Honoré a une bonne idée (...). Et comme souvent, il ne la pousse pas au bout. La proposition radicale du début (...) est affaiblie par l'autre partie du film avec laquelle Honoré semble vouloir la tempérer. L'idée aurait pu fonctionner si ces images, (...) tournées en DV (...) à New York (...), n'étaient pas si inconsistantes.
Louis Guichard - Télérama
C'est un film très homo, mais très hétérogène. Qui mêle une star du X (...) et un écrivain américain n'ayant jamais joué (...). Malgré un matériau aussi divers (et inégal (...)), Honoré garde son cap: la dérive des sentiments. (...) passé par la fantaisie érotique tous azimuts, le film glisse vers le conte moral aux accents rohmériens. Après la crudité, la cruauté.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
