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Demain, quand la guerre a commencé (Tomorrow, When the War Began)

Aust. 2010. Drame de guerre de Stuart Beattie avec Caitlin Stasey, Rachel Hurd-Wood, Deniz Akdeniz. De retour d'un week-end de camping dans les montagnes, sept jeunes australiens découvrent que leur pays a été envahi par une mystérieuse armée. Intrigue simpliste, bavarde et bourrée de clichés. Réalisation fonctionnelle. Tension dramatique quasi inexistante. Interprétation correcte.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Demain, quand la guerre a commencé (Tomorrow, When the War Began)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Aust. 2010. Drame de guerre de Stuart Beattie avec Caitlin Stasey, Rachel Hurd-Wood, Deniz Akdeniz.

De retour d'un week-end de camping dans les montagnes, sept jeunes australiens découvrent que leur pays a été envahi par une mystérieuse armée. Intrigue simpliste, bavarde et bourrée de clichés. Réalisation fonctionnelle. Tension dramatique quasi inexistante. Interprétation correcte.

La petite ville rurale australienne de Wirrawee s'apprête à vivre une fin de semaine de festivités. Cherchant à fuir ces célébrations, les adolescentes Ellie et Corrie décident d'organiser un week-end de camping loin dans les montagnes avec cinq autres jeunes. Mais à leur retour 48 heures plus tard, ils découvrent Wirrawee totalement désertée de ses habitants. Très vite, les sept jeunes réalisent qu'une mystérieuse armée a envahi le pays et que leurs parents et amis ont tous été arrêtés. Bien que le rapport de force soit inégal, ils décident d'affronter les belliqueux soldats.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman de John Marsden, ce RED DAWN australien des années 2000, mâtiné de MAD MAX, ne risque pas de faire ombrage aux films de John Millius et de George Miller. Bavarde, moralisatrice et bourrée de clichés, l'intrigue se révèle aussi simpliste que ridicule et flirte à plusieurs reprises avec la romance sirupeuse pour adolescents. Pour ses débuts à la mise en scène, le scénariste Stuart Beattie (AUSTRALIA) n'impressionne guère. Tout juste fonctionnelle, sa réalisation peine à créer une quelconque tension dramatique. Fort heureusement, le second degré n'est jamais loin, ce qui évite au film de sombrer dans un patriotisme nauséabond. Sans être mémorable, l'interprétation est correcte.

Texte : Olivier Lefébure

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