Fr. 2010. Comédie sentimentale de Pierre Salvadori avec Audrey Tautou, Nathalie Baye, Sami Bouajila. La jeune propriétaire d'un salon de coiffure en province utilise une lettre d'amour anonyme qui lui était destinée pour remonter le moral de sa mère, devenue récemment célibataire. Scénario distillant un charme diffus mais certain. Dialogues savoureux. Mise en scène plutôt conventionnelle. Interprètes charismatiques et attachants. (sortie en salle: 9 septembre 2011)
Général Fr. 2010. Comédie sentimentale de Pierre Salvadori avec Audrey Tautou, Nathalie Baye, Sami Bouajila.
La jeune propriétaire d'un salon de coiffure en province utilise une lettre d'amour anonyme qui lui était destinée pour remonter le moral de sa mère, devenue récemment célibataire. Scénario distillant un charme diffus mais certain. Dialogues savoureux. Mise en scène plutôt conventionnelle. Interprètes charismatiques et attachants. (sortie en salle: 9 septembre 2011)
Manon Dumais - Voir
(...) bien que certaines répliques soient inspirées (...), l’ensemble ne lève qu’à moitié. (...) en misant sur certaines conventions théâtrales, (...) Salvadori apporte un aspect artificiel, lequel plutôt que d’alléger le tout, le fait s’embourber dans une suite de scènes peu plausibles.
Florence Colombani - Le Point
Salvadori est un excellent dialoguiste, et le film, porté par la gouaille d'Audrey Tautou, (...) est franchement drôle. Hommage réussi au cinéma d'Ernst Lubitsch, DE VRAIS MENSONGES est (...) une comédie française élégante et vraiment amusante.
Jean-Luc Douin - Le Monde
De l'enchaînement sans faille de ces saynètes qui font honneur au comique de situation, Pierre Salvadori tire ce merveilleux divertissement dont la mise en scène souligne discrètement la confusion entre le théâtre et la vie.
Éric Libiot - L'Express
Trop de texte, trop de rabâchage, trop de points sur les i. C'est le nivellement par le bas (...). Le plus énervant, c'est que les comédiens principaux (...) ont un talent comique évident. Encore eût-il fallu que Pierre Salvadori les poussât hors des sentiers battus.
Jacques Morice - Télérama
Salvadori (...) ne conçoit la comédie qu'à travers la métaphore. À l'excès peut-être - son film manque un peu de nerf. (...) c'est surtout la langue, couchée sur le papier à lettres, rehaussée par les comédiennes, qui fait le sel de cette comédie.
Gérard Lefort - Libération
(...) ce n’est pas à la manière de… mais sous l’aile de Lubitsch que DE VRAIS MENSONGES s’envole pour un festival de faux pour le vrai et de vrai pour le faux, qui rappelle le swing du maestro hollywoodien. (...) Tautou (...) excelle en punaise dépassée par la violence de ses piqûres.
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable
