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Danse tes rêves (Beat the World)

Can. 2010. Drame musical de Robert Adetuyi avec Tyrone Brown, Mishael Morgan, Nikki Grant. À Detroit, trois troupes de jeunes danseurs hip-hop, une américaine, une allemande et une brésilienne, s'affrontent lors d'une importante compétition internationale. Histoire archiconvenue prétexte à numéros musicaux. Sous-intrigues sentimentales superficielles et lourdement mélo. Réalisation soignée mais conventionnelle. Interprètes plus doués pour la danse que pour le jeu dramatique.

Général
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Danse tes rêves (Beat the World)

Général Général

Can. 2010. Drame musical de Robert Adetuyi avec Tyrone Brown, Mishael Morgan, Nikki Grant.

À Detroit, trois troupes de jeunes danseurs hip-hop, une américaine, une allemande et une brésilienne, s'affrontent lors d'une importante compétition internationale. Histoire archiconvenue prétexte à numéros musicaux. Sous-intrigues sentimentales superficielles et lourdement mélo. Réalisation soignée mais conventionnelle. Interprètes plus doués pour la danse que pour le jeu dramatique.

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À Detroit, Yuson, un jeune danseur hip-hop, s'entraîne avec sa troupe en vue de la compétition internationale "Beat the World" qui doit se dérouler dans quelques semaines. Afin de rendre ses chorégraphies plus originales, il demande à son ami Justin, un adepte du "free running", de leur enseigner certaines acrobaties, ce qui n'est pas du goût de tout le monde. Pendant ce temps, à Berlin et à Rio de Janeiro, deux autres troupes se préparent pour le concours. Tous vont bientôt se retrouver et s'affronter sur la piste de danse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Clairement destinée au public adolescent, cette production formatée et aseptisée propose une histoire archiconvenue, remplie de clichés et de bons sentiments, prétexte à aligner méthodiquement de nombreux numéros musicaux. Lesquels dans l'ensemble n'ont rien d'exceptionnel. Entre ceux-ci viennent s'insérer des sous-intrigues sentimentales superficielles et lourdement mélo. Soignée, la réalisation n'en demeure pas moins conventionnelle, plus proche d'une esthétique télévisuelle que cinématographique. Énergiques, les interprètes sont, sans surprise, plus doués pour la danse que pour le jeu dramatique.

Texte : Olivier Lefébure

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