Can. 2010. Drame d'horreur de Stephen T. Kay avec Eric Balfour, Deborah Valente, Michael Rooker. Condamné à la prison pour le meurtre d'un client qui s'est suicidé en sa présence, un jeune avocat plaide son innocence auprès du gardien témoin de l'événement. Scénario laborieux. Esthétique glauque à souhait. Interprètes convaincus. (sortie en salle: 10 juin 2011)
Condamné à la prison pour le meurtre d'un client qui s'est suicidé en sa présence, un jeune avocat plaide son innocence auprès du gardien témoin de l'événement. Scénario laborieux. Esthétique glauque à souhait. Interprètes convaincus. (sortie en salle: 10 juin 2011)
James Adams - The Globe and Mail
For all its biblical references and moral and metaphysical strenuousness, CELL 213 is all pulp fiction, more macabre comic book than provocative rumination on evil and expiation. Yet even as a comic, it doesn’t make very much sense much of the time, containing at least a half-dozen turns where Kay, faced with the intractable, simply plows ahead.
Kier-La Janisse - Mirror
While a century-old prison (...) is a perfect setting for a horror-tilted morality play (...), the hopelessly muddled script strangles any chance the film has of either engaging or shocking its audience. Explaining away the myriad plot holes by chalking everything up to a celestial battle for human souls (...), the film depends too much on its own shaky aesthetics (...) to draw the audience into its wonky logic.
Manon Dumais - Voir
Hormis l'apparition d'inquiétants spectres sanglants et quelques effets gore, il y a trop peu d'éléments horrifiques dans CELL 213 pour satisfaire (...) l'amateur du genre. Cependant, il pourra savourer le jeu convaincu des acteurs, l'esthétique glauque (...) et l'atmosphère oppressante de ce huis clos qui souffre d'un scénario que l'on aurait désiré plus étoffé.