Can. 2010. Drame de moeurs de Katrin Bowen avec April Telek, Anna Mae Routledge, Zak Santiago. À Los Angeles, les déboires professionnels d'une actrice de cinéma sans travail qui cherche désespérément à percer. Peinture de milieu très juste fortifiée par un personnage central crédible. Réalisation sans apprêt, au plus direct. Interprétation solide d'A. Telek. (sortie en salle: 1 juillet 2011)
À Los Angeles, les déboires professionnels d'une actrice de cinéma sans travail qui cherche désespérément à percer. Peinture de milieu très juste fortifiée par un personnage central crédible. Réalisation sans apprêt, au plus direct. Interprétation solide d'A. Telek. (sortie en salle: 1 juillet 2011)
La Vancouvéroise Katrin Bowen s'est largement inspirée de sa propre expérience de starlette à Hollywood et du destin tragique d'une amie assassinée par le producteur Phil Spector dans ce premier long métrage produit avec trois bouts de chandelle et beaucoup de coeur. La peinture de milieu, très juste, est fortifiée par un personnage central crédible, admirablement défendu par l'ex-Miss Canada April Telek.
Texte : Martin Bilodeau
Aleksi K. Lepage - La Presse
Bowen joue avec nos nerfs et il y a fort à parier que le spectateur non averti, à l’affût de suspense ou d’un minimum d’action, sera décontenancé (...). La finale, (...) prévisible et sans éclat, est d’une si triste et désagréable lucidité qu’elle en justifie les égarements et les moments plats de ce petit film «à message».
François Lévesque - Le Devoir
(...) Bowen ne transcende pas complètement ses influences, mais elle parvient à filmer le pathétisme sans verser dans le grotesque. Ténu, fragile comme sa protagoniste, AMAZON FALLS s'avère un beau portrait d'actrice. Un beau portrait de femme.
James Adams - The Globe and Mail
Telek, a former Miss Canada, delivers a courageous, excruciatingly watchable performance as the doomed actress. Winning, too, are Zak Santiago and William Davis (...). Yet for all this intensity, the film is largely an exercise in déjà vu with a whole lot of schadenfreude goin’ on.