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600 Kilos d'or pur

Fr. 2010. Aventures de Éric Besnard avec Clovis Cornillac, Audrey Dana, Patrick Chesnais. En pleine jungle guyanaise, un petit groupe d'aventuriers tente d'échapper à des contrebandiers à qui ils ont volé 600 kilos d'or. Intrigue classique de chasse à l'homme en milieu hostile. Scénario peu crédible. Réalisation à peine fonctionnelle. Chute du rythme à mi-parcours. Bande sonore intéressante et décors naturels impressionnants. Distribution inégale.

13 ans +
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600 Kilos d'or pur (600 Kilos d'or pur)

13 ans + 13 ans +

Fr. 2010. Aventures de Éric Besnard avec Clovis Cornillac, Audrey Dana, Patrick Chesnais.

En pleine jungle guyanaise, un petit groupe d'aventuriers tente d'échapper à des contrebandiers à qui ils ont volé 600 kilos d'or. Intrigue classique de chasse à l'homme en milieu hostile. Scénario peu crédible. Réalisation à peine fonctionnelle. Chute du rythme à mi-parcours. Bande sonore intéressante et décors naturels impressionnants. Distribution inégale.

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Las de vivre de petites combines, le pilote d'hélicoptère Virgil décide de dérober à des contrebandiers 600 kilos d'or dans une mine en plein coeur de la jungle guyanaise. Pour ce faire, il recrute quatre aventuriers: son vieil ami Georges, Enzo, Remi et Lionel, qui exploite aussi une mine. Tué par les trafiquants, ce dernier est remplacé par son épouse, Camille. Malgré cet imprévu, le petit groupe réussit son coup et s'enfuit par la voie des airs vers le Brésil. Mais l'appareil a été touché lors du braquage et Virgil est contraint d'atterrir en pleine forêt. Lourdement chargés, les fuyards s'enfoncent dans la jungle hostile afin d'échapper à leurs poursuivants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré sa prémisse prometteuse et son petit air rétro (aventures "sixties" à la française), cette intrigue classique de chasse à l'homme en milieu hostile s'avère assez décevante. Peuplée de personnages caricaturaux et ponctuée de péripéties bien peu trépidantes, l'histoire n'est pas crédible pour une once d'or et s'achève par une finale d'une grande mièvrerie. À la réalisation, Éric Besnard (CA$H) livre une mise en scène à peine fonctionnelle, le rythme chutant à la mi-parcours. À souligner cependant une bande sonore intelligemment travaillée et des décors naturels impressionnants. Au sein d'une distribution aussi hétéroclite qu'inégale, Clovis Cornillac fronce les sourcils autant qu'il peut, mais n'a pas l'étoffe d'un Lino Ventura ou d'un Michel Constantin.

Texte : Olivier Lefébure

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