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127 heures (127 Hours)

G.-B. 2010. Drame de Danny Boyle avec James Franco, Kate Mara, Amber Tamblyn. Un jeune randonneur se retrouve prisonnier d'une crevasse dans un canyon, son bras droit immobilisé par une lourde pierre coincée entre deux parois rocheuses. Adaptation survitaminée du livre autobiographique d'Aron Ralston. Récit de survie minimaliste. Amusantes échappées dans l'imaginaire. Réalisation inventive. J. Franco très solide. (sortie en salle: 26 novembre 2010)

13 ans +
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127 heures (127 Hours)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 2010. Drame de Danny Boyle avec James Franco, Kate Mara, Amber Tamblyn.

Un jeune randonneur se retrouve prisonnier d'une crevasse dans un canyon, son bras droit immobilisé par une lourde pierre coincée entre deux parois rocheuses. Adaptation survitaminée du livre autobiographique d'Aron Ralston. Récit de survie minimaliste. Amusantes échappées dans l'imaginaire. Réalisation inventive. J. Franco très solide. (sortie en salle: 26 novembre 2010)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Danny Boyle
Simon Beaufoy
D'après le livre de Aron Ralston
Musique :
Montage :
Avril 2003. Passionné de randonnées à haut risque et d'escalade, Aron Ralston se rend au Bluejohn Canyon, dans l'Utah, sans avoir averti quiconque de son départ. Peu après son arrivée, Aron rencontre deux randonneuses égarées, à qui il fait découvrir un magnifique lac souterrain. Puis le jeune homme repart seul compléter son expédition. Mais au détour d'une pente escarpée, il glisse dans une crevasse, provoquant la chute d'une lourde pierre qui s'écrase sur son bras droit et se coince entre deux parois. Pendant 127 heures, Aron, prisonnier de la roche, tente désespérément de se dégager, tout en priant pour que ses appels à l'aide soient entendus par d'autres randonneurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Danny Boyle (TRAINSPOTTING) met en scène avec son inventivité habituelle cette adaptation survitaminée du livre autobiographique d'Aron Ralston. De fait, ce récit de survie minimaliste, qui évoque à certains égards le récent BURIED de Rodrigo Cortes, soutient l'intérêt grâce à d'amusantes échappées dans l'imaginaire, provoquées par l'état d'inanition du malheureux captif. Lequel filme à l'aide de sa petite caméra vidéo un journal de bord désespéré dont les images et le propos, savamment distordus par Boyle et son monteur, versent souvent dans un délire surréaliste assez jouissif. Ajoutons à cela la trame sonore endiablée de A.R. Rahman (SLUMDOG MILLIONAIRE) et la prestation très solide de James Franco (MILK, HOWL), et l'on obtient un divertissement de fort bonne tenue. Seuls bémols: une séquence d'ouverture idyllique façon THE BEACH (du même Boyle), qui s'avère un brin superflue et racoleuse, ainsi qu'un ton d'humour trop omniprésent qui enlève de l'intensité dramatique aux moments de grande anxiété vécus par le protagoniste.

Texte : Louis-Paul Rioux

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