Go to main content
4

You Might as Well Live

Can. 2009. Comédie de Simon Ennis avec Joshua Peace, Michael Madsen, Stephen McHattie. Malgré des accusations de pédophilie qui pèsent contre lui, un ex-psychiatrisé naïf s'associe à des individus louches dans l'espoir de devenir quelqu'un d'important. Intrigue joyeusement décousue portée par un humour outrancier. Galerie impressionnante de personnages désaxés. Réalisation modeste. Jeu savoureux des interprètes. (sortie en salle: 25 septembre 2009)

13 ans +
4

You Might as Well Live (You Might as Well Live)

13 ans + 13 ans +

Can. 2009. Comédie de Simon Ennis avec Joshua Peace, Michael Madsen, Stephen McHattie.

Malgré des accusations de pédophilie qui pèsent contre lui, un ex-psychiatrisé naïf s'associe à des individus louches dans l'espoir de devenir quelqu'un d'important. Intrigue joyeusement décousue portée par un humour outrancier. Galerie impressionnante de personnages désaxés. Réalisation modeste. Jeu savoureux des interprètes. (sortie en salle: 25 septembre 2009)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Photographie :
Musique :
Montage :
Robert n'a jamais été aussi heureux que depuis le jour où, à la suite d'une tentative de suicide, il a été interné dans un hôpital psychiatrique. Mais après trois ans de détention, le temps est venu pour lui de retourner vivre en société. Fuyant les résidents de son ancien quartier, qui l'accusent à tort de pédophilie, Robert trouve refuge auprès d'un ami et de sa jolie copine. Déterminé à devenir quelqu'un d'important, le naïf s'improvise livreur pour le compte d'un trafiquant de drogues et d'organes humains. Ce boulot lui fait croiser la route d'une foule d'individus louches, dont une serveuse obsédée par les attentats terroristes et un présentateur météo sadomasochiste. Malgré toute sa bonne volonté, Robert ne cesse d'accumuler les bévues.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les idiots du village ne manquent pas au cinéma, mais celui incarné par Josh Peace est unique: d'une sottise abyssale, d'une candeur attachante, il est en outre l'unique moteur du scénario que l'acteur a écrit en tandem avec le cinéaste canadien Simon Ennis. Le récit décousu, modestement mis en scène, adopte la forme d'une collection de situations cocasses et absurdes, brossant le portrait décapant d'une ville sans charme peuplée de marginaux, et culminant sur une rédemption aussi farfelue qu'expéditive. La démarche, plus outrancière que contestataire, suscite une hilarité contagieuse, accentuée par le jeu savoureux des interprètes, la palme du ridicule revenant bien évidemment à Josh Peace.

Texte : André Lavoie

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3