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Vendredi 13 (Friday the 13th)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Marcus Nispel avec Jared Padalecki, Danielle Panabaker, Derek Mears. Isolés en forêt, des jeunes gens sont la proie d'un assassin masqué qui hante les lieux. Remake relâché et truffé d'invraisemblances d'une oeuvre phare du genre. Scénario prétexte à un spectacle de mises à mort bien troussé. Réalisation compétente. Montage efficace. Interprétation adéquate. (sortie en salle: 13 février 2009)

16 ans + (violence, érotisme)
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Vendredi 13 (Friday the 13th)

16 ans + (violence, érotisme) 16 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 2009. Drame d'horreur de Marcus Nispel avec Jared Padalecki, Danielle Panabaker, Derek Mears.

Isolés en forêt, des jeunes gens sont la proie d'un assassin masqué qui hante les lieux. Remake relâché et truffé d'invraisemblances d'une oeuvre phare du genre. Scénario prétexte à un spectacle de mises à mort bien troussé. Réalisation compétente. Montage efficace. Interprétation adéquate. (sortie en salle: 13 février 2009)

Crystal Lake, 1980. Perturbée à la suite de la noyade de son fils, une mère tue les moniteurs du camp de vacances, qui n'ont pu empêcher le drame. Près de trente ans plus tard, un groupe de cinq jeunes gens à la recherche d'une plantation de marijuana aux abords du lac est assailli par un maniaque masqué. Six semaines plus tard, Clay, le frère d'une des disparues, vient interroger les habitants du coin. Il fait alors la connaissance de Jenna et des copains de cette dernière, qui s'apprêtent à passer du bon temps dans une luxueuse résidence des environs. Flairant ces nouvelles proies, le tueur sort de sa tanière.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Déjà responsables du remake de TEXAS CHAINSAW MASSACRE, Marcus Nispel et son producteur Michael Bay ont conçu une nouvelle mouture généralement satisfaisante de FRIDAY THE 13TH, oeuvre phare d'un populaire sous-genre, le «slasher». Délaissant l'intrigue bébête de l'original et privilégiant un ton plus actuel, le scénario n'en demeure pas moins relâché et truffé d'invraisemblances. Comme le veut la tradition, l'histoire cède le pas au spectacle des mises à mort sadiques, plutôt imaginatif et bien troussé dans l'ensemble. Empreinte d'un certain souci esthétique, la réalisation est compétente, mais non exempte de scènes sexuelles racoleuses, tandis que les frissons sont avant tout redevables à un montage efficace. De jeunes interprètes typés se prêtent avec conviction à ce jeu de massacre.

Texte : François Lévesque

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