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The Goods: Live Hard. Sell Hard.

É.-U. 2009. Comédie de Neal Brennan avec Jeremy Piven, Jordana Spiro, James Brolin. Un vendeur extravagant et son équipe aident un concessionnaire de voitures usagées au bord de la faillite à organiser une supervente le week-end de la fête nationale. Scénario capricieux et peu captivant carburant à l'humour outrancier et la dérision. Plusieurs gags tombant à plat. Réalisation manquant de rythme. Interprétation dans la note. (sortie en salle: 14 août 2009)

13 ans + (langage vulgaire)
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The Goods: Live Hard. Sell Hard. (The Goods: Live Hard. Sell Hard.)

13 ans + (langage vulgaire) 13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 2009. Comédie de Neal Brennan avec Jeremy Piven, Jordana Spiro, James Brolin.

Un vendeur extravagant et son équipe aident un concessionnaire de voitures usagées au bord de la faillite à organiser une supervente le week-end de la fête nationale. Scénario capricieux et peu captivant carburant à l'humour outrancier et la dérision. Plusieurs gags tombant à plat. Réalisation manquant de rythme. Interprétation dans la note. (sortie en salle: 14 août 2009)

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Menacé de faillite, le concessionnaire de voitures usagées Ben Selleck fait appel à Don Ready, un vendeur extravagant mais efficace, afin qu'il lui organise une supervente à l'occasion du week-end de la fête nationale. Flanqué de ses trois coéquipiers, Don met en branle l'opération avec ses méthodes peu orthodoxes, tout en faisant de l'oeil à Ivy, la fille de Ben. Or, celle-ci est fiancée au fils d'un vendeur de voitures importées, qui lorgne le commerce du concessionnaire. La première journée est un succès, mais le lendemain, diverses complications surviennent. Don perd alors de son assurance, craignant que le projet tourne à la catastrophe, comme cela s'était produit à Albuquerque il y a plusieurs années.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'humour outrancier et le sens de la dérision sont au programme de cette comédie coproduite par Will Ferrell et Andy MacKay, les trublions derrière les succès ANCHORMAN - THE LEGEND OF RON BURGONDY et TALLADEGA NIGHTS - THE BALLAD OF RICKY BOBBY. Sauf que cette fois, la formule semble éventée. Ainsi, plusieurs gags tombent à plat, au fil d'un scénario peu captivant et trop capricieux pour convaincre. Les dialogues, fertiles en références sexuelles salaces, font à peine sourire, tout comme les divers passages parodiques. En outre, la réalisation manque de rythme. L'interprétation est néanmoins dans la note.

Texte : Louis-Paul Rioux

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