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The Disappearance of Alice Creed

G.-B. 2009. Thriller de J Blakeson avec Gemma Arterton, Martin Compston, Eddie Marsan. Les plans des deux malfaiteurs qui ont kidnappé la fille d'un riche homme d'affaires contre une forte rançon virent en eau de boudin. Huis clos au suspense bien construit. Retournements amusants mais guère neufs. Réalisation un peu terne. Interprétation impeccable. (sortie en salle: 20 août 2010)

13 ans + (violence)
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The Disappearance of Alice Creed (The Disappearance of Alice Creed)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

G.-B. 2009. Thriller de J Blakeson avec Gemma Arterton, Martin Compston, Eddie Marsan.

Les plans des deux malfaiteurs qui ont kidnappé la fille d'un riche homme d'affaires contre une forte rançon virent en eau de boudin. Huis clos au suspense bien construit. Retournements amusants mais guère neufs. Réalisation un peu terne. Interprétation impeccable. (sortie en salle: 20 août 2010)

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Équinoxe Films
Vic, un homme violent, et Danny, son sous-fifre, ont mis au point le parfait scénario d'enlèvement. Après avoir plastifié l'intérieur d'une fourgonnette et insonorisé la chambre d'un appartement situé dans un immeuble désaffecté, les deux malfaiteurs cagoulés kidnappent Alice Creed, la fille d'un riche homme d'affaires à qui ils comptent soutirer une rançon de plusieurs millions de dollars. Rapidement toutefois, leur plan vire en eau de boudin. En effet, Alice réussit à s'enfuir. Mais Danny la rattrape, lui dévoilant du coup son identité. Or il se trouve que tous deux se connaissent déjà et que, sans rien dire à Alice, Danny comptait subtiliser à Vic sa part de la rançon afin de prendre la fuite avec elle. La jeune femme, bien que méfiante, se laisse convaincre de revenir jouer le jeu de la victime séquestrée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce premier long métrage de J. Blakeson repose sur un suspense construit avec intelligence, principalement sur le mode du huis clos. Bien qu'assez habile, le scénario laisse parfois un peu trop deviner ses influences. Ainsi, quiconque a vu DEATHTRAP, l'adaptation par Sidney Lumet de la pièce de Ira Levin, et SHALLOW GRAVE, de Danny Boyle, sera à même de voir venir les principaux retournements et coups de théâtre. Par ailleurs, exception faite d'une troublante scène où les geôliers attachent et dévêtissent leur prisonnière, la réalisation un peu terne peine à relever le niveau. Cela dit, le trio d'acteurs, au demeurant bien assortis, réserve une interprétation impeccable. Eddie Marsan, l'instructeur névrosé de HAPPY GO LUCKY, se révèle particulièrement efficace.

Texte : François Lévesque

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