É.-U. 2009. Science-fiction de McG avec Christian Bale, Sam Worthington, Anton Yelchin. Alors que les humains luttent contre les machines qui ont pris le pouvoir, un résistant veut sauver l'adolescent qui deviendra son père au détour d'un voyage dans le passé. Quatrième volet énergique d'une populaire série. Intrigue et enjeux dramatiques simplistes. Débauche d'effets spéciaux et de cascades spectaculaires. Rythme soutenu. Réalisation nerveuse. Bonne interprétation. (sortie en salle: 22 mai 2009)
Alors que les humains luttent contre les machines qui ont pris le pouvoir, un résistant veut sauver l'adolescent qui deviendra son père au détour d'un voyage dans le passé. Quatrième volet énergique d'une populaire série. Intrigue et enjeux dramatiques simplistes. Débauche d'effets spéciaux et de cascades spectaculaires. Rythme soutenu. Réalisation nerveuse. Bonne interprétation. (sortie en salle: 22 mai 2009)
TERMINATOR SALVATION est le quatrième volet de la saga opposant l'Homme à la machine. Comme par le passé, la réussite de l'entreprise repose avant tout sur une débauche d'effets spéciaux et de cascades qui, le plus souvent, se révèlent spectaculaires. On regrette que le scénario n'ait pas bénéficié des mêmes égards. Certes, l'intrigue est rondement menée, mais elle ne ménage aucune surprise. Les enjeux dramatiques demeurent primaires et certains éléments ne convainquent pas faute d'être un tant soit peu approfondis (cf. l'amour spontané entre une femme et un cyborg hybride). Cela étant, la mise en scène nerveuse et rythmée de McG (CHARLIE'S ANGELS, WE ARE MARSHALL) est bien mise en valeur par un montage serré. La trame sonore de Danny Elfman, dont certains motifs évoquent littéralement l'idée de métal et de forge, constitue également un atout. Même s'ils sont contraints de défendre des personnages unidimensionnels, les talentueux interprètes se tirent fort bien d'affaire.
Texte : François Lévesque
Par : Michaël Gagnon, Sherbrooke
Quatrième volet d’une série à succès. Scénario plus ou moins convaincant introduisant de nouveaux personnages à la série. Effets visuels réussis. Bande sonore dynamique. Plusieurs séquences d’affrontements spectaculaires. Éléments sentimentaux totalement inutiles. Conclusion tirée par les cheveux. S. Worthington robotique.
J'attribue à ce film la Cote