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Summer's Blood

Can. 2009. Drame d'horreur de Lee Demarbre avec Ashley Greene, Peter Mooney, Barbara Niven. Partie sac-à-dos à la recherche de son père, une jeune femme est kidnappée par un psychopathe qui l'enferme dans la cave de sa mère. Production modeste assez convenue. Psychologie des personnages peu développée. Dernier tiers très peu crédible. Dénouement expédié à la va-vite. Réalisation efficace. S. McHattie terrifiant.

13 ans + (violence, horreur)
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Summer's Blood (Summer's Blood)

13 ans + (violence, horreur) 13 ans + (violence, horreur)

Can. 2009. Drame d'horreur de Lee Demarbre avec Ashley Greene, Peter Mooney, Barbara Niven.

Partie sac-à-dos à la recherche de son père, une jeune femme est kidnappée par un psychopathe qui l'enferme dans la cave de sa mère. Production modeste assez convenue. Psychologie des personnages peu développée. Dernier tiers très peu crédible. Dénouement expédié à la va-vite. Réalisation efficace. S. McHattie terrifiant.

Genre :
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Partie sac-à-dos et en auto-stop à la recherche de son père qu'elle n'a jamais connu, Summer, 20 ans, fait la connaissance de Tom, un séduisant jeune homme qui la tire d'un mauvais pas. Ils passent la nuit ensemble, mais au petit matin, Tom devient menaçant et refuse que Summer reparte. Assommée par Gaia, la mère du jeune homme, Summer se réveille peu après enchaînée dans le cave. Là, elle réalise immédiatement qu'elle n'est pas la première victime à avoir séjourné dans le sous-sol de la maison d'apparence ordinaire de cette famille de psychopathes.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Modeste dans ses ambitions et sa facture, cette production générique s'avère assez convenue et n'offre rien de neuf dans l'univers des psychopathes ravisseurs. En outre, la psychologie des personnages est insuffisamment développée. Ainsi, les motivations et les pulsions meurtrières du protagoniste demeurent floues. Le dernier tiers se révèle encore moins crédible que le début, tandis que le dénouement, totalement invraisemblable, semble avoir été expédié à la va-vite par manque de temps. À tout le moins, la réalisation de Lee Demarbre est efficace. N'apparaissant que dans le dernier tiers, Stephen McHattie (MAURICE RICHARD) glace le sang et éclipse ses partenaires.

Texte : Olivier Lefébure

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